Un phénomène pris en compte depuis peu par les autorités !
Il est temps que ça change !
La brigade de lutte contre les atteintes à la sécurité des transports – la Blast, des policiers patrouillant en civil –, à Paris, chasse les frotteurs dans le métro qui sont très actifs aux heures de pointe. Ces policierss recherchent le flagrant délit. Pincer les contrevenants au moment même de l’infraction semble être une très bonne façon de s’attaquer à ce type de délinquance sexuelle. Les vols font aussi partie de leurs visées.
A savoir :
De nombreuses femmes refusent de porter plainte parce qu’elles ont honte ou peur de ne pas être prises au sérieux, parce qu’elles n’ont pas le temps.
Le 9 juillet 2015, le gouvernement a présenté son «Plan national de lutte contre le harcèlement sexiste et les violences sexuelles dans les transports en commun», soit une liste de 12 mesures destinées à combattre ce fléau vécu depuis des années dans une semi-indifférence.
La campagne de sensibilisation pour dire "Stop - Ça suffit" à cette violence ordinaire dans le métro a donné du poids à la lutte. Regardez-la :
Comment prouver ces agressions ?
Comment se sentir en sécurité dans les espaces publics ?
Pour éviter ces violences sexuelles sans pénétration (baisers forcés, mains aux fesses, sur les cuisses, frottements, etc.), faudrait-il demander aux femmes de ne plus se promener seules ? Ou faudrait-il recommander aux femmes de cesser de porter des jupes ? Et si l´on augmentait les capacités de transport pour éviter que les usagers ne soient transformés en sardines ?
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