Durcissement du mouvement social
qui secoue la France depuis le 9 mars.
qui secoue la France depuis le 9 mars.
Après deux mois et demi de manifestations contre la loi Travail, sans en obtenir le retrait du projet de loi, la CGT a donné un coup d'accélérateur au conflit. Elle tente de paralyser l'économie française en organisant la pénurie de carburant pour obtenir du pouvoir socialiste le retrait de la réforme du Code du travail.
Après plus d´une semaine de blocage des raffineries et des dépôts de carburant, points névralgiques du pays, la contestation continue à s´étendre. Les huit raffineries que compte l'Hexagone sont en grève, elles sont à l'arrêt ou tournent au ralenti. Ces blocages provoquent depuis plusieurs jours des difficultés d'approvisionnement des stations-service, entraînant des ruées
d´automobilistes à la pompe.
L'impact économique de ce blocage oscillerait entre 40 et 45 millions d'euros par semaine. Cette mobilisation contre la loi Travail représente un gros risque pour l'économie française à l'heure où la croissance est en train de reprendre de façon plutôt significative.
La ministre du Travail Myriam El Khomri, le 13 juin, sera au Sénat pour défendre cette loi qui pourrait contribuer à créer près de 50.000 emplois et qui obéit à l'Union européenne. L'État fait preuve de la plus grande fermeté et d'une très grande détermination.
Pourquoi ce projet de loi suscite-t-il à ce point la colère de la CGT? Pour le savoir, filez sur : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/05/11/20002-20160511ARTFIG00140-loi-el-khomri-ce-qui-reste-du-texte.php
La ministre du Travail Myriam El Khomri, le 13 juin, sera au Sénat pour défendre cette loi qui pourrait contribuer à créer près de 50.000 emplois et qui obéit à l'Union européenne. L'État fait preuve de la plus grande fermeté et d'une très grande détermination.
Pourquoi ce projet de loi suscite-t-il à ce point la colère de la CGT? Pour le savoir, filez sur : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/05/11/20002-20160511ARTFIG00140-loi-el-khomri-ce-qui-reste-du-texte.php
Les forces de l'ordre ont une résistance importante : jets de projectiles, feux de palettes de bois et de pneus, et elles ont donc dû utiliser des grenades lacrymogènes et des canons à eau.
En tenant compte que manifester est un droit et que casser n'est pas un droit, devrait-on considérer des hors la loi tous ceux qui bloquent les raffineries ?
Prendre la population "en otage" est-il démocratique ?
Le droit de grève est légitime, mais donne-t-il le droit d'asphyxier un pays à l´heure où son économie est en train de se redresser?
Une centrale syndicale peut-elle faire la loi ?
Le gouvernement devrait-il retirer ce projet de loi Travail?
Les voitures électriques vont-elles profiter de la pénurie de carburant qui touche une partie du territoire?
Ce sont beaucoup les questions sur lesquelles le droit de grève nous fait réfléchir. Mais il y a, cependant, une chose que les citoyens ne pouvons pas oublier jamais, bien que il ait qui considère que son droit de grève et de manifestations, adjoint à la liberté d’expression, est sur toutes les choses, et c’est que le droit d’un finalise où commence le droit de l’autre.
RépondreSupprimerLes libertés économiques, le libre commerce, le gouvernement choisi pour les citoyens d’une manière démocratique…, ne peuvent pas être blocages en employant la barbarie, la destruction et la violence.
Manuel Valls, surnommé "Le bulldozer" en France, a accusé à la CGT de "prendre en otage" les Français. Philippe Martinez, secrétaire général de celle-ci, a affirmé que Valls "joue un jeu dangereux" en essayant d´opposer la CGT aux citoyens. Nous nous trouvons dans un contexte économique et social où plusieurs de facteurs doivent être pris en compte pour que la situations soit variment évalué. D´abord, le gouvernement refuse le dialogue aux représentants des travailleurs c´est pour cela qu´ils doivent se manifester pour se faire écouter. ¡N´oubliez pas! grâce aux travailleurs nous avons de l´électricité, des carburants, de la nourriture etc. Les citoyens ne peuvent pas exiger aux travailleurs, ils ne sont pas partenaires sociaux légaux dans ce type de situations, alors le dialogue doit être entre le gouvernement, les entrepreneurs et les syndicats, cettes sont les règles de la démocratie. Par ailleurs, la violence d´une minorité ne transforme pas la revendication de la majorité pacifique en injuste, la police emploie aussi la violence quelquefois. Par ailleurs, je ne suis pas d´accord avec le libre commerce, à travers de celui-ci les enfants de la Chine, de l´Inde, de l´Afrique, de l´Amérique du Sud sont explotés. Est-ce que l´on veut que les conditions des citoyens soient ici comme dans ses lieux?. Le libre commerce est contraire à la democratie car les pouvoirs économiques sont les vrais dirigeants et non "le gouvernement choisi pour les citoyens d´une manière démocratique" à mos avis c´est une grande contradiction. Les blocages des travalleurs qui démandent au governement de s´asseoir avec eux pour négocier des conditions de travail plus justes sont normaux dans ce type de situation et surtout en France. Je suis les événements à travers des médias français et j´y trouve beaucoup de dialogue. Je ne crois pas l´impartialité du journal "Le Figaro" étant donné qu´il est conservatuer.
RépondreSupprimerLa controverse se centre dans l´article 2, avec la loi EL Khomri, l´accord d´entrepise prime sur l´accord de branche, c´est comme "une inversion de la hiérarchie des normes", et ça créera sans doute un marché du travail plus précaire, par exemple chaque entreprise peut gérer à son niveau la question du temps de travail. Les syndicats démandent au gouvernement de modifier cet article, mais il reste impassible.