Au Sénégal, les antirétroviraux (ARV), ces médicaments empêchant la prolifération des virus et des infections qui sont gratuits depuis 2000, l'incitation au dépistage des femmes enceintes, l'éducation et le déploiement du soutien psycho-social ont bien freiné cette pandémie, de là que le taux de mortalité a été divisé par deux depuis 2005, se plaçant le Sénégal parmi les bons élèves du continent africain dans son combat face à ce fléau. Une avancée non négligeable !
La promiscuité sociale et la précarité étaient à l'origine de tous ces problèmes engendrés par ce virus mortel qui frappait surtout les prostitués, les homosexuels masculins et les consommateurs de drogues. Ce ne sont plus désormais les médicaments qui posent problème, mais plutôt la qualité des infrastructures et la disponibilité du personnel médical. Et outre, la faiblesse des structures médicales en milieu rural, le rejet des malades par leur entourage avaient été un obstacle, un point noir assez majeur qui de nos jours s´est amoindri.
A savoir :
Depuis 1988, le 1er décembre est désigné par l´OMS (Organisation mondiale de la santé) la Journée mondiale de lutte contre le SIDA.
En 2016, un million de personnes dans le monde sont mortes des suites du VIH.
En 2016, le Sénégal comptait environ 46 000 porteurs du VIH/Sida dont 4 800 enfants. Un suivi rigoureux des futures mères porteuses du VIH serait primordial mais aussi un traitement pour ces enfants.
Petit rappel :
Le seul moyen de protection efficace contre le VIH/Sida, mais aussi contre les IST (Infections Sexuellement Transmissibles), c´est le préservatif.
Cette épidémie continue à sévir. Alors, ça sera pour quand l’éradication totale du Sida ?
Évidemment il arrive ici tel qu´avec toutes sortes de fléaux: les plus défavorisés ne sont que les plus pauvres, et nombreux d´entre eux se trouvent dans le Tiers Monde...
RépondreSupprimerIl n´existe une autre chose pire que faire des "voyants" et nourrir de faux espoirs, en disant que "la science est très avancée" et "que très tôt viendra la solution", car il faut encore, selon les scientifiques les plus versés, encore dix ou trente ans...alors...
nous et surtout les secteurs plus enclins, ne pouvons pas beaucoup y faire mais...on doit faire "quelque" chose: ce n´est autre que la prévention, à travers l´éducation, comme dirait mon ami Javier, les campagnes de sensibilisation sur une vie sexuelle pas promiscuitée et surtout, l´utilisation de préservatifs...
Bon soir...
À mon avis, et comme Inma a déjà dit, je suis toujours pour l’éducation comme moyen pour faire avancer à la société dans tous les plans. Mais, cependant, nous pouvons trouver chaque jour que les jeunes, ou la jeunesse, a autres intérêts. Se relever contre les normes, contre l’ordre, la réponse.... Dans ce sujet, avec la forme de vie (la promiscuité), l’éducation doit s’adapter au public et n’être pas une imposition des pays civilisés.
Supprimerpardon, "à travers de"...
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