En 42 jours 16 heures 40 minutes 35 secondes, soit 6 jours et 10 heures de mieux que le précédent record détenu depuis un an par Thomas Coville.
Gabart, nouveau recordman, un sacré brillant navigateur qui n’avait alors fait qu’une seule fois le tour du monde, en 2012/2013 avec sa victoire lors du Vendée Globe, a bien su dompter les infernales forces obscures océaniques dans son maxi-trimaran (30 mètres de long et 21 mètres de large, catégorie Ultim). Une sacrée résistance physique ! Un sacré mental d´acier pour ce magistral tour du globe express !!!
A savoir :
Le premier marin qui avait entrepris ce périple, ce joli voyage en solo autour de la planète, a été Francis Joyon en 2004 (72 jours 22 heures) puis en 2008 (57 jours 13 heures). En 2005, ce fut le tour de la Britannique Ellen MacArthur (71 jours 14 heures) et Coville en 2016 (49 jours 3 heures).
Une autre remarquable performance ! Un sacré exploit majuscule !
A savoir :
Le premier marin qui avait entrepris ce périple, ce joli voyage en solo autour de la planète, a été Francis Joyon en 2004 (72 jours 22 heures) puis en 2008 (57 jours 13 heures). En 2005, ce fut le tour de la Britannique Ellen MacArthur (71 jours 14 heures) et Coville en 2016 (49 jours 3 heures).
Bravo pour cette superbe prouesse incroyable de ce maître de la voile à 34 ans, un jeune loup des mers, un prodige, un virtuose, un génie, le Mozart des mers !!!
François Gabart à Brest, dimanche. (Photo Yvan Zedda. ALeA. Macif)
C’est bien, je dois affirmer que ce que M Gabart a réussi est une prouesse, mais, cependant, il faut dire aussi que ces records de aujourd’hui seront-ils vaincus dans quelques années. Le développement de la recherche, des moyens, des matériaux…, ils auront naviguer plus vite, avec plus sécurité…, et pulvériser les marques existants.
RépondreSupprimerBravo, c´est vraiment admirable, incroyable...; si tous les sacrés doivent êtres, dans tous les ordres, pas seulement louées si non imitées, celle-ci qui se déroule dans l´entourage de la mer peut-être doublement étonnante du fait du froid de l´eau, son humitié, leur violence quelques fois..., circonstances toutes elles que ne peuvent pas être controlées pour l´homme et qui répresenten un double défi pour tout éffort, quoi qu´il soit grand...
RépondreSupprimerCHAPEAU!!, je crie, François!!