Les propriétaires de logements situés à proximité des pistes voient souvent leurs biens être dévalorisés.
L'Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (l'Acnusa) a suggéré d'indemniser les propriétaires qui souhaitent vendre leur bien. L'Acnusa a proposé que les aéroports ayant au moins une moyenne de 20 mouvements par nuit entre 22h et 6h rachètent ces immeubles d'habitation à un prix équivalent de celui pratiqué dans les zones voisines non soumises aux nuisances aéroportuaires. Sur les aides à l'insonorisation, l'Acnusa a souhaité que le dispositif soit élargi aux locataires et permette de couvrir l'ensemble des frais engagés.
A savoir
Créée en 1999, l'Acnusa a un pouvoir de recommandation et d'alerte pour tous les aéroports français et des missions particulières pour les 11 principaux.
Voici d´autres conséquences néfastes, des conséquences sanitaires dues à ces terribles nuisances sonores : l´hypertension, les troubles de sommeil et l'anxiété.
Il est interdit de construire de nouveaux logements dans ces zones où le bruit est considéré comme dangereux pour la santé.
À mon avis ils l'ont bien merité. Tout le monde qui habite près d'un aéroport a bien merité un dédommagement étant donné que ils ont dû supporter ce bruit jour et nuit. C'est vrai que lorsqu'une personne achète un logement on doit évaluer le pour et le contre mais malgré tout il faut trouver une issue pour eux, une solution pour leurs problèmes de santé. Et bien sûr, c'est très important de ne pas continuer à construire de logements dans les zones proches aux aéroports.
RépondreSupprimerC´est un sujet épineux car les zones de gêne ne se limitent pas uniquement aux alentours des aéroports. Il faut aussi penser à ceux qui vivent près d´un hôpital et doivent supporter à tout moment le bruit assourdissant des sirènes des ambulances. N´oublions pas ceux qui se trouvent aux environs d´une gare et subissent le va-et-vient constant des trains ou encore ceux qui ont le malheur de résider à proximité d´une usine qui émet des odeurs nauséabondes.
RépondreSupprimerQue dire des maisons qui longent une autoroute! A-t-on vraiment prévu l´ampleur des indemnités si tout le monde qui habite près d´une zone de gêne se met à réclamer?
Pour moi, ce ne sont pas indemnisables dans sa juste mesure tous ces problèmes de santé, de sommeil...; car, comment on peut compenser l´impossibilité de dormir avec de l´argent, ou quois qu´on soient les problèmes dérivés de ces espaces de travail si bruyants?
RépondreSupprimerÀ mon avis, on devrait construire ces aéroports, comme ces autres lieux dangereux pour la santé tels que les hôpitaux pour son bruit comme disent Ana María y Mª Ángeles, aux banlieux des villes...
Bon soir...
À mon avis pour cette question nous devons fixer notre attention selon le moment de construction des logements. C’est-à-dire, lorsque les logements étaient avant que la construction de l’aéroport c’est clair qu’il y a un dommage pour les citoyens et une perte de valeur d’achète et, donc, il faut les indemniser.
RépondreSupprimerPar contre, quand l’achète du logement a été une fois que l’aéroport était déjà fait, les propriétaires savaient les conditions à lesquelles ils devaient habiter, et peut-être le prix d’achète fut moindre.
Personnellement, je trouve cette offre raisonable et pertinente. Je pense qu´il faut se montrer solidaire avec les gens qui ont été touchés par des éléments non prevus par eux au départ, surtout ceux qui affectent leur santé. D´autre part comme bien disent Ana María y Mª Ángeles, non seulement les riverains d´aéroports sont les seules victimes de la gêne mais aussi ceux qui habitent dans un quartier calme où soudain, d´un jour à l´autre il devient une zone à la mode de boîtes et de bars, ce qui entraine le plus souvent du bruit et de la saleté. Pour cela, il me semble juste qu´ils soient dédommagés et en outre si l´on compte une intermédiare pour resoudre ces ennuis, dans ce cas-là, ce serait beaucoup mieux.
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