De jeunes filles, ayant à peine atteint la puberté, victimes d´un violent rituel d´initiation sexuelle au nom de la purification et visant à les prémunir contre de graves maladies ou contre un malheur quelconque qui pourrait même s'abattre sur leurs familles ou nuire à leur village.
De jeunes filles contraintes de passer la nuit, durant une période de 3 jours, avec un homme choisi par leur famille pouvant donner lieu à une grossesse non désirée. Cet homme que l'on appelle "une hyène" est un travailleur du sexe. Ce violeur en série autorisé par la coutume sera payé entre 4 $ et 7 $ pour chaque "nettoyage sexuel" qui ne devra jamais être protégé par l'utilisation de préservatifs.
Cet apprentissage si traumatisant et si aberrant de la sexualité, cette défloraison si nuisible, est une pratique qui perpétue le viol de fillettes et qui perdure en dépit de son interdiction (loi de 2013) dans le sud du Malawi, un état dans l´Afrique australe, où 16 % de ses habitants sont infectés par le virus mortel du sida.
Sachez que l´horreur ne s´arrête pas là : dans des zones rurales, les parents de petites filles vierges les envoient dans des camps «d’initiation sexuelle» où nues elles sont forcées à apprendre à satisfaire les hommes, à leur apporter du plaisir. Elles devront alors mimer l’acte sexuel et s’exercer à la fellation sur un morceau de bois. Même sort pour les femmes stériles.
Sachez aussi que selon la coutume, si un homme meurt, sa femme doit avoir des relations sexuelles de "nettoyage" avec une "hyène", avant de pouvoir enterrer les dépouilles de son mari, et que lorsqu'une femme avorte ou bien lorsque l’on bâtit une nouvelle maison, la tradition veut que la femme subisse aussi ce "nettoyage sexuel".
Pour venir en aide à toutes ces femmes, plusieurs ONG travaillent pour faire abolir ces traditions si dégradantes.
Il ne me reste plus qu´à crier que cette utilisation si ignoble de la culture pour abuser de ces jeunes femmes, cette misère intellectuelle, ce "féminincide" engendre une telle consternation !!!
J'ne ai pas de mots pour autant d'horreur. De chez moi je ne peux ríen faire.Tout le monde devrait aider ces femmes.MÁS TOUT.
RépondreSupprimerOn fait tant de choses aberrantes au nom de la traditon!Tant d´actes commis contraires à la raison sous n´importe quel prétexte! Tantôt, il s´agit de faire preuve d´acceptation de la coutume pour ne pas être banni par l´entourage... Tantôt, ce sont les recommendations du sorcier du coin que l´on ne peut en aucun cas déjouer, sous peine de causer le mauvais sort et une malédiction collective à toute la famille et au village en plein.
RépondreSupprimerLorsque l´ignorance fait la belle part aux maladies de transmission sexuelle, comment combattre le fléau? En Afrique Australe, dévierger une enfant est garantie de guérison du SIDA!!!
Et encore, que dire d´autres pratiques aussi épouvantables infligées aux petites filles non seulement en Afrique mais dans la plupart des pays musulmans? Chaque année, des millions de fillettes sont contraintes de force à subir "l´EXCISION " dont les séquelles sont traumatisantes à vie et très souvant mortelles.
Ouf!!! À quand la fin de ces ignominies?
Cette sauvage pratique m´a tellement horrifié que, comme Mª Teresa dit, il n´y a pas de mots pour exprimer ce qu´on ressent: effroi, chagrín, impuissance, colère...; qu´est-ce que je pourrais faire depuis ma situation, en dehors de prier avec toutes mes forces...?
RépondreSupprimerDans l´article d´en haut on nous dit "qu´il y a plusieurs ONG envisageant l´abolition de ces pratiques mais...il y a quelques jours que j´ai presque césé de confier à l´honnêteté de ces organisations...
Mais alors, oh mon Dieu...! qu´ils laissent de souffrir les plus impuissants de la terre, surtout les femmes du Tiers-monde!!
Hélas ! comment en honneur de je ne sais pas quoi loi, quoi coutume peut-on faire un chose si condamnable ! Un acte tellement important, énormément intime, avec lequel jouir ensemble d’un partenaire aimé détruit et qui fixera leurs relations sexuelles pendant toute sa vie.
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