"Mon fils, victime de happy slapping", sorti en librairie.
A 11 ans, Romain est un collégien sans histoires. Un jour de novembre, en pleine cour de récré, il est maintenu au sol par une bande d'élèves et roué de coups de pied. La scène est filmée et diffusée sur les réseaux sociaux plus de trois semaines et a été regardée par au moins 200 personnes. Elle a été supprimée par ses auteurs quand ils ont compris qu’elle pouvait leur nuire.
Ce livre relate son combat et celui d´Angèle Martin, la mère de Romain, enseignante dans le collège de Bretagne où son fils a été agressé, pour faire reconnaître la souffrance de son fils, et condamner les agresseurs. Angèle Martin y raconte le combat d’une maman face à l’inaction de l’administration – juridique, politique et scolaire – qui selon Angèle, préfère "étouffer l’affaire pour ne pas ternir la réputation d’une académie entière".
A savoir:
Romain a été victime de cette triste et récente mode du "Happy slapping" et il a fini par changer de collège.
Ses agresseurs étaient des enfants de bonne famille, dont les parents étaient sans doute trop absents.
Cette agression a généré à Romain des nuits blanches, son décrochage scolaire, sa tentative de suicide...
Le fait que cet ouvrage sorte a réconforté Romain. Il veut que son histoire éclate au grand jour, car il espère qu’elle fera bouger les choses.
Faudrait-il une loi pour interdire la présence des téléphones portables dans l’enceinte des établissements et ainsi l’idée de filmer des tabassages ne leur passerait plus par la tête?
D'aprés moi, il faudrait que tout les organisations escolaires se implicairent un peu plus contre cette type de actitudes, compte tenu que le téléphones portables ne sont pas les coupables des agressions, mais les escolaires,ce qui ne sufriront pas les consecances de ses actions grace à une societé aveugle et sourd. Au moment oú le mal n'est pas une question personel la actitud est regarder à autre coté dans le but de ne pas s'en marrer.
RépondreSupprimerCe qu´on connaît comme "violence verticale", ou "happy slapping", des scolaires vers les autres ou bien contre les propres professeurs, c´est un phénomène d´autant plus complexe qu´il comprenne tous les secteurs de la société: les familles avant tous, l´école, les copains, la justice...
RépondreSupprimerComme j´ai déjà dit en parlant d´autres sujets, ici il s´agit d´une question d´éducation et des valeurs: toujours malheureusement, il a existé la violence et l´harcèlement dans les écoles, mais jamais comme à nos jours, elle a eu une projection si énorme, à cause des apparats de téléphonie mais...hier comme aujourd´hui, c´est le même problème: des enfants qui ne parlent pas avec ses parents ou qui ne reçoivent pas d´eux une information sur ce qu´ils peuvent ou non faire, aux lesquelles tout on est permi, sûrement ils seront des personnes qui exerceront de la violence sur les autres...alors, les premiers agents responsables de ce comportement sont les parents et, bien sûr, les enfants "rois"...
D´un autre côté, il y a des personnes qui aident depuis l´omission du devoir de SOS: les proffeseurs qui voient à une autre partie, la justice trop douce avec les enfants...
Alors, comme dans la violence de genre: TOLÉRENCE ZÉRO VERS L´HARCÈLEMENT SCOLAIRE! Il faut poursuivre aux coupables et les soumettre, aussi à eux comme à leurs parents, à des soucis de réeducation ensemble et, bien sûr, un ENDURCEMENT DES PEINES DU CODE PÉNAL POUR LE DÉLIT D´HARCÈLEMENT, MÊME S´IL S´AGIT D´UN ENFANT...
J'ai un fils handicapé,il y a une maladie rare, de sorte qu'il présente un aspect physique différent. Maintenant, il étudie deuxiéme année de l'école secondaire au lycée. Des ses premières années à l'école il a été bien accepté pas ses camarades de classe, il est un graçon très heureux et bon élève, mais parfois, il a dit dans notre maison que certains étudiants (quelques étudiants qui ne font pas partie de leur classe) on se moquait de lui dans la récréation de la cour à cause de leur apparence. Nous, en tant que parents, nous ne voulons pas donner de l'importance, nous voulons rester leur suffrance, mais pensons quíl doit avoir des nouvelles mesures de lutte contre l'harcèlement scolaire. Merci à tous.
RépondreSupprimerStop à ce type de vexation !
SupprimerC´est vraiment très navrant de voir subir tel harcèlement. C´est abominable. Les enfants sont cruels. À cet âge ils ne se rendent pas compte du mal. Mais dans le cas de ton fils, ses harceleurs ne sont plus des enfants. Les violences verbales de ces lycéens qui sont sûrement en train de détruire ton fils à petit feu, sont impardonnables.
J´espère que les bourreaux de ton fils regretteront un jour leurs actes.
Gros bisous à ton fils.
À mon avis c'est un probleme de la société de tous les temps, mais qu'aujourd'hui, peu à peu, son importance est moindre, heureusement, mais avec une diffusion dans les médias plus grand merci aux technologies de la communication. J'essayerai de m'exprimer. Il fait quelques années les bizutades étaient une acte pour donner la bienvenue aux nouveaux éléves à l'université. Tout le monde avait l'impression de que celui était un phenomene très drôle, malgre que l'harcèlement et la poursuite étaient son marque d'indéntité. Maintenant, les équipes de gouvernement des universités font tout ce qu'ils peuvent pour lutter contre ces actes. Les choses sont en changement.
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