Un magnifique hommage à ceux qui font la science.
Un magnifique ouvrage nous racontant ce face-à-face permanent avec l’inconnu.
Un magnifique partage de la passion, des doutes et du cheminement intellectuel des hommes et des femmes de science tels que Galilée, Einstein, Lavoisier, Archimède, Démocrite, Newton ou Marie Curie, qui font avancer notre compréhension du monde, qui ont ébranlé et façonné le monde.
Une magnifique découverte de personnages qui nous ont menés où nous en sommes aujourd'hui, au travers de leur succès mais aussi de leurs échecs sur ce chemin si escarpé de la connaissance qui les a hantés.
Un magnifique ouvrage nous racontant ce face-à-face permanent avec l’inconnu.
Un magnifique partage de la passion, des doutes et du cheminement intellectuel des hommes et des femmes de science tels que Galilée, Einstein, Lavoisier, Archimède, Démocrite, Newton ou Marie Curie, qui font avancer notre compréhension du monde, qui ont ébranlé et façonné le monde.
Une magnifique découverte de personnages qui nous ont menés où nous en sommes aujourd'hui, au travers de leur succès mais aussi de leurs échecs sur ce chemin si escarpé de la connaissance qui les a hantés.
Une magnifique mise à l´honneur d´Émilie du Châtelet, une passionnée des sciences du XVIIIe siècle, hélas trop méconnue, bien qu´elle soit pionnière quant au rôle des femmes dans cette histoire des sciences écrites au masculin ainsi que celle du CNRS.
Une femme ayant mené une carrière de défricheuse en science que certains hommes pourraient lui envier.
Connue comme la simple maîtresse d´un grand homme, Voltaire, Émilie du Châtelet est en fait au XVIIIe siècle la première femme savante, la première femme au monde à se vouer aux sciences ayant refusé d'accepter les limites que la société lui assignait et qui lui interdisaient la plupart des ambitions et des gloires permises aux hommes, une brillante démonstration de la capacité des femmes surdouées en science, inversant l’image des "Femmes savantes" de Molière, ayant traduit et commenté en français le "Principia Mathematica" de Newton, ayant même corrigé quelques erreurs de Newton, et s´étant même confrontée victorieusement à des physiciens de son époque où régnait ce blocage sociétal à l´égard des femmes.
Pour finir, suivez le conseil de Catherine BRÉCHIGNAC, une femme débordante d´éducation scientifique telle que l´était Émilie DU CHÂTELET, et qui est actuellement secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences et qui a été présidente du CNRS : « Donnez-vous le temps de penser. »
Lorsque Jean Jacques Rousseau fréquentait les salons du père de Gabrielle Émilie le Tonnelier de Breteuil, marquise du Châtelet, il n´imaginait sûrement pas qu´il était en présence de la future traductrice au français du "Principia Mathematica" de Sir Isaac Newton. Cette femme d´une intelligence prodigieuse, assoiffée de sciences, n´était pas disposée à suivre la règle d´après laquelle, étudier la botanique était la seule discipline qu´il jugeait accessible à l´esprit féminin. Selon Rousseau, les femmes devaient se limiter à appliquer les découvertes effectuées par les hommes car penser sur le principe des choses n´était point de leur ressort.
RépondreSupprimerCe qui de nos jours est un droit acquis dans notre société,aura nécessité de bien des années pour être traitées sur pied d´égalité avec les hommes.
Comme exemple:-1868. Julie-Victoire Daubié, 1ère femme française autorisée à se présenter au Baccalauréat et 1ère bachelière.
-1868. Les filles sont enfin autorisées à étudier la Médecine.
Madeleine Brès est la 1ère Française à obtenir un doctorat de médecine de la Faculté de Paris en 1875.
-1930.Thérèse Bertrand-Fontaine 1ère femme des hôpitaux de Paris.
-2008.Françoise Barré-Sinoussi reçoit le Prix Nobel de Physiologie ou Médecine pour la découverte du VIH.
Il aura donc fallu en arriver au xxème siècle pour mettre les sciences à la portée de tous les jeunes indépendamment du sexe et ce, dans notre société, alors que dans bien des pays, les fillettes sont toujours privées de l´accès aux études. Pourtant, il faut permettre aux femmes de s´instruire. Si on les prive de cela, les hommes travaillent contre l´intérêt du bien public.
Le titre du livre est magnifique, et pour moi exprime ce que doit guider nos vies. Avoir envies de connaître, de savoir, d’apprendre…. Si nous n’avons aucune curiosité c’est tellement triste.
RépondreSupprimerQuelles envies de savoir, d´apprendre, de se ressentir vivant éprouve cette madame...! Quel exemple pour tous nous...!
RépondreSupprimerUn jour lors de notre chemin jusqu´à l´école de langues de Mérida pour assister aux classes de français, mon ami et camarade Javier qui écrit ci-dessus me disait: "Inma. nous sommes d´autant jeunes que nous suivons à aller apprendre une langue, à l´étudier...Et je lui ai reconnu que c´est vrai, la jeunesse de l´esprit et de la pensée dépend de la volonté d´exerciter notres idées et notre cerveau...
Châpeau, Mme.Catherine, le savoir, ce n´est pas patrimoine du sexe masculin...!!