Bordeaux, Grenoble, Le Havre, Marseille, Paris ou encore Strasbourg délivrent des permis verts !
Faire courir des plantes grimpantes sur un mur, faire pousser un arbre fruitier ou un arbrisseau en jardinière dans un pied d´arbre, cultiver des fleurs sur le trottoir, creuser des fosses de plantation dans le goudron pour pouvoir y semer des espèces locales, résistantes et peu consommatrices en eau (pas de plantes exotiques, ni épineuses, ni envahissantes, ni hallucinogènes, ni allergènes), qui nourrissent les abeilles et sans y mettre de produits chimiques.
Désormais pour verdir les trottoirs, il ne suffit que de demander un permis de végétalisation, une demande soit en ligne, en quelques clics, soit en se rendant dans la mairie.
A savoir :
Ces zones doivent idéalement être proches du domicile ou du lieu de travail du demandeur afin de faciliter l’entretien des plantations (arrosage, taille, désherbage).
En cas de plantations de comestibles (fruits, légumes, aromates), ils doivent être à la disposition de tous.
La végétalisation des trottoirs ne doit pas compliquer la vie des piétons et transformer le passage des poussettes et des fauteuils roulants en parcours du combattant.
Aimeriez-vous participer à ce petit bout de jardin inédit, à cette nature donnant le moral, au fleurissement, à l´embellissement de votre ville et à l´amélioration du cadre de vie ?
Dans un contexte préoccupant en matière de pollution de l’air et de risque sur la santé, quoi de mieux que de créer un espace de végétation où le parfum dégagé par les végétaux masquera les odeurs nauséabondes des gaz d’échappement de la circulation automobile !
Alors, tous à vos outils ! Et plantons ! Jardinons !
Ce qu'aujourd'hui est vendu comme une nouveauté dans les villes avec une grande population et un gros problème de pollution, et qui est vue comme très moderne, très collaborative, en reliant les personnes méconnues pour un objectif jolie de faire les trottoirs plus agréables… ces sont les mêmes lesquelles nous avons connu il fait lointain dans les villages. Il était l’habitude que chacun était responsable de nettoyer la rue, vu que il n’y avait pas de service de nettoyage, de soigner la végétation qui était près de chez soi étant donné que le mairie ne pouvez pas payer un service de jardinage…., en recherchant y le bien de tous, le bien commun.
RépondreSupprimerL’action, bref, pas d’être nouvelle, c’est une bonne idée.