Une question examinée mercredi par le Conseil d’État.
Une levée de l’anonymat qui pourrait permettre de connaître les éventuels problèmes liés à une maladie génétique !
Sachez que de plus en plus d'adultes nés d'un don de sperme anonyme, de procréation assistée, demandent devant la justice à avoir accès à leurs origines pour pouvoir se réapproprier leur histoire, pour se construire leur identité.
Connaître l’identité de son père, de sa mère biologique est-ce légitime ?
La levée de l’anonymat provoquera-t-elle une baisse du nombre de ce don de cellules ?
Retrouvez les géniteurs alors que l´on a garanti aux donneurs l'anonymat, est-ce normal ?
A quel âge les enfants devraient-ils savoir qu’ils sont issus d’un donneur ?
A savoir :
L’Allemagne, la Finlande, la Norvège ou la Nouvelle-Zélande ont déjà levé l’anonymat des donneurs. Et à 18 ans, les personnes, nées grâce à un don de sperme, peuvent alors contacter leur géniteur.
En France, le don de sperme est volontaire, gratuit et anonyme.
Le profil des donneurs de sperme a bel et bien changé: fini les étudiants et place désormais aux pères de familles responsables et altruistes.
Depuis 1973 et la création des banques de sperme en France, 50.000 enfants sont nés grâce à des dons.
Ces enfants réussiront-ils un jour à retrouver toutes les pièces du puzzle dans cette quête identitaire ?
Dès le moment où-t-elle existe un don, on ne pourrait pas "être legal" réveler ou chercher l´identité de celui qui donne vu que l´anonymat est une condition sine qua non de ce mode de procréation...; le problème du fond n´est que la manière différente de legiférer de chaque pays et c´est pour ça qu´on voit la disparité d´opinions à l´égard de ce sujet dans l´Allemagne que dans l´Espagne, par exemple...
RépondreSupprimerUne chose est sûre dans notre pays: il existe un principe irréfutable qui maîtrisse l´application des lois et n´est un autre que celui de "la non-retroactivité des lois ", c´est-à-dire, qu´elles ne peuvent pas s´appliquer sur la situation d´il n´importe quelles personnes, si cette application supposait un dommage des droits des mêmes et il n´y a aucune doute que la levée de l´anonymat, étant cette condition établie solidement comme un principe du don de sperma, ça serait ilégal dans notre pays étant donné que cette levée signifie un préjudice à la sécurité du donneur...
Merci à tous...je dois grâce à la vie pour connaître mon père...
Le sujet c'est plutôt polémique. On peut constater deux positions les pesonnes desirant connaître l'idéntité de son péres et les donneurs de sperme. À mon avis, le plus pertinente c'est le consentement des personnes donneurs, dans les cas que n'existe pas une législation, voire afin de prévenir les maladies génétiques c'est possible préserver l'identité des donneurs, en fournissant seulement les donnes médicaux. C'est vrais que certains comportaments ou maladies s'expriment grâce á la génétique.
RépondreSupprimerLe actuel profil des donneurs actuels, il me semble très curieux, puisque ce type d'altruisme peut les compliquer serieusement la vie, en particulière, si se leve l'anonymat des donneurs. Pourraient-ils nègliger ses obligations parentales s'ils connaissaient l'existence d'outres fils? Pourraient-ils éviter ressentir de l'intérêt envers ses personnes qui se présentent comme ses fils? C'est très delicat....
C´est vrai que quelques pays ont modifié leur législation en ce sens car la société a evolutioné mais je considère qu´il ne faut pas lever l´anonymat du don de sperme.
RépondreSupprimerD ´ailleurs, c´est necessaire demander à avoir accès à l´histoire clinique des donneurs pour détecter des maladies héréditaires tant que l´identité ne sera pas révélée. Les personnes nées d´un don de sperme peuvent souhaiter de connaître l´identité de leur père biologique mais il peut provoquer des problèmes et difficultés personnelles.
Le droit à quelque chose devrait être, en principe, une garantie pour tous.
RépondreSupprimerSi les donneurs de sperme font un acte jugé normal et bénéfique pour la société, alors pourquoi cachent-ils leur identité surtout lorsque l´on sait qu´à un moment donné, tout le monde veut connaître ses origines. L´humanité a toujours cherché à savoir d´où elle venait donc, quoi de plus normal que d´enquêter sur les progéniteurs. Comment empêcher une personne de vouloir découvrir qui est son père ou sa mère?
De plus, la vie de ces enfants peut dépendre de cela en cas de maladie héréditaire.
Et, ce qui est plus grave, a-t-on songé à ce qui se passerait si après une donation multiple des adultes ignorant leurs liens familiaux, qu´ils sont demi-frères, ont des rapports sexuels et procraient à leur tour des enfants ?
Est-ce que la loi légitimerait ces relations ?
L´humanité n´est ni un marché ni un jeu mais une responsabilité de toutes les parties qui ne doivent pas se cacher derrière l´anonymat.
Je suis pour continuer en maintenant l’anonymat des donneurs. Les vrais pères sont ceux qui aiment sans limites aux enfants, et n’importe aucune autre chose.
RépondreSupprimerAujourd’hui il y a un débat très intéressant sur la création d’une troisième catégorie de parents. Les biologiques, les adoptives et ceux qui veulent avoir un enfant en employant autres moyens de reproduction assistée, comme la gestation pour autrui (sans contribution de matérielle génétique, sans le ressource à l’adoption…). Et qui sont-ils les parents ?
Je l’ai clair, ceux sont qui aiment, protègent, soutiennent, éduquent, forment… aux enfants. Il n’est pas une question seulement de matérielle génétique.
Il est vital de savoir d'où on vient. Se demandent certains individus qui ont vu la lumière du jour grâce au don de sperme. Ils désirent savoir où se trouve leur père biologique pour éclaircir beaucoup de réponses à ce sujet, mais la loi protége aux donneurs pour maintenir l'anonymat surtout en France. Ceertains géniteurs désirent confidentiellement que cette loi soit respectée pour qu'il y ait plus de donneurs.
RépondreSupprimerCe n'est pas aux médecins de décider la levée de l'anonymat de sperme, mais surtout d'un choix éthique fondamental de la société. D'avoir pleine conscience pour que ces jeunes conçus par ce don puissent avoir un état émotionnel plus soulageant.
C'est une affaire très complèxe mais la levée de l'anonymat de sperme dès la naissance serait une affaire à résoudre par les gouvernements, non seulement par la France mais aussi par des autres pays étrangers.