On pleure le décès de ce virtuose dans les fourneaux et un peu partout en France. Ce Pape des gastronomes s'en est allé hier, samedi 20 janvier, des suites d'une longue maladie.
Cette immense personnalité lyonnaise, triplement étoilée, le plus exceptionnel des chefs cuisiniers internationalement connus, ayant fait rayonner son empreinte dans le monde entier, avait 91 ans.
Qui prendra le relais à cette figure emblématique, cette incarnation de la gastronomie mondiale, ce grand défenseur des traditions françaises, pour continuer à hisser bien haut les couleurs de la France ? Un solide pilier indétrônable ! Son œuvre, sa carrière restera éternelle !! Votre cuisine ne mourra jamais !!!
A savoir :
Cet ambassadeur de la gastronomie française à l'étranger avait ouvert, en plus de ses neuf restaurants à Lyon et aux alentours, plusieurs autres établissements au Japon, aux États-Unis et en Suisse.
Le concours international du "Bocuse d'Or", lancé en 1987, constitue un véritable tremplin pour de jeunes chefs.
Toutes mes condoléances à sa famille.
La figure de ce chef a été un changement régénérateur et conceptuel de la cuisine. Son héritage sera toujours présent parmi les gastronomes
RépondreSupprimerEn écoutant la radio cette matin ils parlaient de M Bocuse. C’est, sans genre de doute, le maître de la cuisine, sachant jouir du traditionnel et du nouveau. Peut-être la combinaison parfaite, connaissant l’ancien et avec volonté d’évoluer. Sans perdre les essences, mais avec l’innovation pour drapeau.
RépondreSupprimerNous avons tous perdu un maître de la cuisine mondiale, un artiste des fourneaux.
RépondreSupprimerOr, si le paradis existe, il est certain que monsieur Bocuse saura y organiser de beaux festins et régaler tous les convives.
Ici-bas,ses disciples pourront continuer son oeuvre à la grande joie de ses admirateurs.
Quelle jolie image, mes chères amies...! je vois ce chef dans le ciel, courant après les petits anges, pour leurs couper les cheveux et fournir avec eux des délicieux gâteaux "aux cheveux d´ange"; il pourra battre les nuages pour les mettre "au point de meringue" et il ne laissera pas de préparer toutes sortes de menus "célestes"...
SupprimerJusqu´à le moment où nous pourrons y goûter-j´espère que ça fera longtemps, touchez le bois-, nous nous conformerons avec le "Navidul"..., n´est-ce pas, Anne Marie? jajaja
Un bise à tous.
Ah!Inma, si Mr. Bocuse avait su ce qu´étaient les Naviduls , que d´étoiles il aurait décrochées! Tout un firmament...
RépondreSupprimer