Loin d'être épargnés par la pandémie, les jeunes (et les moins jeunes, les ados) continuent à être cruellement impactés par cette quasi vilaine dilapidation des activités culturelles, sportives, spirituelles, sociales – Ô combien vitales pour l´épanouissement de qui que ce soit ! Un fort gros alarmant pourcentage de jeunes jeunissimes atteints de cafardeux redoutables troubles de l'anxiété, du sommeil, du cauchemar, de l´agressivité, de l´angoisse, de l´alimentation, ayant bondi vertigineusement; une jeunesse rongée par de vénéneux symptômes dépressifs, d'eczéma, etc. Bref d´abominables problèmes liés à un épouvantable déséquilibre nerveux, de terrifiantes pathologies mal perçues quoique fortement déployées et dont l´incidence est en hausse grandement croissante sur la situation sanitaire de la population.
Dès lors, comment en finir ou faire fléchir l´ampleur de ces taux qui ne s´amoindrissent nullement et qui ne cessent de croître ? Comment s´y prendre de sorte à assouvir la soif de liberté ressentie par ces êtres frustrés et si assoiffés ? Et tout en sachant que la vie n´est pas un long fleuve tranquille dont les écueils et les fardeaux pourraient jaillir de tous côtés, comment s´y mettre de sorte à leur faire estomper voire effacer ces idées noires poussant les adolescents et les jeunes à perdre le moral, à craquer tout en les enlisant dans d´effroyables abîmes marécageux de souffrances engendrées par de noircissimes pensées suicidaires endeuillant des tonnes et des tonnes de familles?
Marie Angèle et Anne Marie Cabrejas vous proposent de lire :
RépondreSupprimerS´il y a deux ans, quiconque aurait osé affirmer que nous serions confrontés à une pandémie meurtrière d´autant plus terrifiante qu´à l´opposé d´une guerre traditionnelle où l´on voit venir l´ennemi ou d´un attentat dont on connaît les auteurs, cette fois, la mort nous guetterait nichée sur une surface mal assainie, dans un contact interdit, dans un souffle d´air contaminé, alors, on aurait dit que la menace n´était que le fruit d´un cerveau détraqué.
Pourtant, la réalité s´est bien avérée autre.
Plus rien n´est comme autrefois. On ne s´embrasse plus, on ne se donne plus la main, on ne partage plus avec gaieté les réunions familiales ou entre amis si ce n´est que sous la contrainte d´un masque ou l´application constante d´un gel désinfectant.
Tous les étudiants ont vu leurs études chambouler et, pour ceux qui n´ont pas accès aux cours on-line faute de moyens technologiques, alors c´est le désespoir. Quel avenir leur réserve-t-on ?
Combien d´enfants et de jeunes ont été arrachés à la présence et au soutien de leurs parents ou grands-parents emportés dans le monde entier par ce virus létal dans les pires conditions ?
Comment ne pas avoir peur ? Comment ne pas se briser ? Qu´auront-ils encore à endurer ?
Rien d´étonnant alors si les plus vulnérables se laissent emporter par l´angoisse.
Peut-on les blâmer ? Non ! Surtout lorsque l´on sait que l´avenir n´augure rien de bon et que l´espoir s´est terni.
Mais, si un jour lueur est faite sur cette histoire du coronavirus, espérons seulement que les responsables qui ont si allègrement joué avec l´humanité toute entière payeront bien cher leur sale jeu et qu´ils iront pourrir en enfer. Ça, ils l´auront bien mérité et ils ne pourront s´y soustraire tout puissants qu´ils se croient.
La liberté qu´ils nous ont volée, nous devrons la récupérer quoi qu´il en coûte.
Salut mes camarades.
RépondreSupprimerC'est vrai que la santé mentale des jeunes a été fortement frappée en raison des derniers événements tels que la Covid-19, la crise sanitaire, etc.
Les symptômes les plus habituels sont l'anxiété, les troubles du sommeil, de l'angoisse.
Cependant, c'est cela la vraie cause?
Comment la plupart de la population n'a pas ce type de problèmes bien que la situation soit énormément compliquée pour elle, et nos jeunes qui dépendent pour la plupart de leurs parents pour vivre, souffrent tellement ?
Peut-être que cette situation nous indique que notre manière d´élever nos jeunes, ce n'est pas la bonne.
Selon moi, ils doivent apprendre à survivre.
On ne devrait pas tout faire, c'est totalement le contraire: ils devront apprendre seuls.
Malheureusement, il n’y a rien d’étonnant à ce que cette étape de la vie appelée adolescence, caractérisée par le fait que les jeunes s’enferment en eux-mêmes dans un sentiment d’incompréhension et de rejet de l’environnement qui les entoure, soit autant ou plus affectée par ce virus asocial qui sépare les amis, les amoureux, les proches, les envoyant parfois à la mort même...
RépondreSupprimerPourvu que ce cauchemar finisse bientôt et que, comme disent les sœurs, les responsables paient dans cette vie pour le prix fort de leur expérience avec l'humanité toute entière...!
Je voudrais envoyer d’ici des tonnes et des tonnes d’espérance et d’optimisme à tous les jeunes du monde...!!