31 mars 2024

"Paternel", premier film du cinéaste Ronan Tronchot, sorti en mars 2024, au moyen duquel il tisse un drame questionnant le mode de vie des prêtres au XXIème siècle

Synopsis 
Le quotidien de Simon, prêtre dévoué à sa paroisse et à ses paroissiens d´une petite ville de France, sera bouleversé dès que sur le parvis de l´église, il revoit Louise, qu’il n’avait pas revue depuis son séminaire, et qui lui présente Aloé, un garçonnet de 11 ans, dont il est le père. Un aveu consternant ! 
Ce prêtre acceptera-t-il d’être le père biologique de cet enfant ? Un gros dilemme moral, personnel et professionnel ! 
Essaiera-t-il de convaincre les plus hautes sphères de l’Église que sa vocation est compatible avec l’amour paternel ? 

Sachez que ce long-métrage est le premier à oser aborder ce sujet délicat alors que 4000 enfants en France ont un père prêtre d´après l'association "Plein jour". Un constat ahurissant voire inimaginable pour certains et certaines d´entre nous ! 
Sachez aussi que tant que l´on constatera une grossissime pénurie de prêtres affaiblissant voire effondrant une Église catholique d´aujourd´hui anéantie par une effarante ravageuse crise de vocations religieuses ; tant que l´on ne fera pas sauter les verrous bien verrouillés de ces institutions religieuses aux mœurs ancestrales en entamant un assouplissement du durcissement de leurs normes, ces hommes continueront à se voir contraints de choisir entre leur progéniture et leur vocation. Et ça, c´est bel et bien regrettable ? 

Regardez la bande annonce de ce film qui pourrait fournir un bel éclairage sur cette question assez délicate.

D´après vous, tout en sachant que la responsabilité de géniteurs crée une série d'obligations permanentes, être prêtre et père à la fois, ce sont des responsabilités compatibles ? 
En Espagne, que pourrait-il se passer si un prêtre ou un curé voire un évêque découvre qu'il a eu un enfant avant de prononcer ses vœux et d'être ordonné ? 
Selon vous, le célibat forcé des prêtres aurait-il entraîné de viles frustrations ? 
Connaissez-vous des prêtres ou des bonnes-sœurs ayant assouvi ce type de mal-être en ayant eu une maîtresse ou un amant ?

1 commentaire:

  1. Sheila Díaz Muñoz1 avr. 2024, 00:08:00

    Bonsoir!, Ô pauvre garçon en désarroi! et aussi pauvre pêtre que l´on ne le permet pas de mener à bien sa partenité!, c´est aberránt la situation à mes yeux il à le droit lui aussi le pauvre!. En ce qui concerne l´Espagne je ne sais pas s´il y a des prêtres ou de curés dans la même situation que ce bon homme, néanmoins, cela est-il possible, voire pire encore! sauf que c´est en sécret.

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