Sauf que de nos jours, quoique le "Refuge", depuis 2003 dans plusieurs villes françaises, soutienne les victimes d’homophobie et accueille de jeunes homos virés de chez leurs parents ou qui ont fui leur cercle familial de crainte que les tortures psychologiques ne continuent à s´accroître au sein de leur foyer, cette si répugnante tendance, hélas, gagne du terrain.
Mais que diable, parents, faites-vous avec vos propres enfants! Ne rejetez pas vos progénitures! Arrêtez ce délitement de notre société ! C'est ignoble et écoeurant ! Réveillez-vous, que diable !
Grâce aux importants dons publics et privés que le "Refuge" pour les gays perçoit et grâce aux campagnes de financement participatif créées pour meubler et aménager ces lieux d’hébergement, ces jeunes, saccagés par le désarroi provoqué par ce sectarisme humain un peu trop courant de nos jours auquel ils ont été durement confrontés, se reconstruisent petit à petit dans cette structure, grâce aussi à l’aide de bénévoles charitables. Sans le "Refuge", il faut l´avouer, peut-être bon nombre d´entre eux ne seront-ils plus à nos côtés.
A savoir : le taux de suicide est notablement plus élevé chez les jeunes LGBT harcelés (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres): entre 12 et 13 %, alors que, dans la population globale, le taux oscille entre 3 et 4 %. D´autant que dans la plupart des cas, à déplorer, ces suicides, ils le font souvent sous l´emprise de la drogue.
Néanmoins, heureusement que de telles structures uniques en France qui s'inquiètent du climat homophobe continuent à exister, et espérons qu´un jour elles ne seront plus submergées d´appels et qu´elles n'auront plus d'utilité... à moins que toute cette homophobie ne continue à ramper et à acculer davantage ces hommes et ces femmes au point qu´ils vont continuer à faire partie d´une minorité dont le sort est celui d´être condamné au lynchage. Et ça c´est effrayant et inadmissible !
Pointons alors nos projecteurs sur cette situation qui exacerbe la colère et attise la haine, et aussi sur ce tapage qui tabasse les homos de faire en sorte que l´on puisse mieux flanquer un bon coup de pied à cette sale fourmilière d´agressions et que l´on puisse en terrasser tous les maux.
Mais que diable, parents, faites-vous avec vos propres enfants! Ne rejetez pas vos progénitures! Arrêtez ce délitement de notre société ! C'est ignoble et écoeurant ! Réveillez-vous, que diable !
Grâce aux importants dons publics et privés que le "Refuge" pour les gays perçoit et grâce aux campagnes de financement participatif créées pour meubler et aménager ces lieux d’hébergement, ces jeunes, saccagés par le désarroi provoqué par ce sectarisme humain un peu trop courant de nos jours auquel ils ont été durement confrontés, se reconstruisent petit à petit dans cette structure, grâce aussi à l’aide de bénévoles charitables. Sans le "Refuge", il faut l´avouer, peut-être bon nombre d´entre eux ne seront-ils plus à nos côtés.
A savoir : le taux de suicide est notablement plus élevé chez les jeunes LGBT harcelés (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres): entre 12 et 13 %, alors que, dans la population globale, le taux oscille entre 3 et 4 %. D´autant que dans la plupart des cas, à déplorer, ces suicides, ils le font souvent sous l´emprise de la drogue.
Néanmoins, heureusement que de telles structures uniques en France qui s'inquiètent du climat homophobe continuent à exister, et espérons qu´un jour elles ne seront plus submergées d´appels et qu´elles n'auront plus d'utilité... à moins que toute cette homophobie ne continue à ramper et à acculer davantage ces hommes et ces femmes au point qu´ils vont continuer à faire partie d´une minorité dont le sort est celui d´être condamné au lynchage. Et ça c´est effrayant et inadmissible !
Pointons alors nos projecteurs sur cette situation qui exacerbe la colère et attise la haine, et aussi sur ce tapage qui tabasse les homos de faire en sorte que l´on puisse mieux flanquer un bon coup de pied à cette sale fourmilière d´agressions et que l´on puisse en terrasser tous les maux.
Dommage qu´il existe un taux de suicides si élevé parmi ce secteur de la population qui en arrive là acculé par le désespoir de se voir harcelé, non seulement par la société, mais rejetté par leur propre famille qui est sensée leur venir en aide.
RépondreSupprimerHeureusement, le soutien d´organisations comme "Le Refuge" contribue à alléger la souffrance de ces hommes et de ces femmes . Toutefois, elles ne devraient pas se transformer en ghettos.
Loin de les marginaliser, la société devrait être éduquée dans l´acceptation de l´autre avec toutes ses particularités.
Quand sera-t-il le jour dans lequel les hommes seront capables d’accepter les différences ? De tolérer ce qui est contraire à ce que pense-je ? Malheureusement les épisodes de xénophobie et de racisme sont par ici et par là, chaque jour plus propagés. Les questions religieuses, les sexuelles, les identitaires…, en lieu d’apprendre de cette réalité, il faut exterminer l’opposé et imposer ma volonté. Hélas !
RépondreSupprimerJe souffre en lisant cet article vu que j´ai un tas d´amis homos -la seule dénomination me trouble, cette distinction ne devrait pas exister- qui sont de vrais témoins de la tollérence et du pardon même face à ceux qui les rejetent...; à savoir:
RépondreSupprimer-À Madrid, il existe une organisation où le colectif LGTB -avec tout ma tendresse- peut y vivre leur foi chrétienne en dépit du mépris d´une partie de l´Église catholique qui suit à être un peu "hypocrite"(surtout en faisant attention aux derniers scandales de pédophilie qui nous ont effrayé ça fait pas longtemps); heureusement, il y a un grand secteur de notre Église pas homofobe...
-J´ai deux grands amis qui ont été approuvés par les services sociaux pour adopter un bébé atteint du syndrome de Down...il avait été rejeté par sa propre famille, sûremente hétéro...!!
Merci pour cet article, Carmen, il ne devrait pas exister ce type de "Réfuges"...
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