Fortissime déclin du taux de la natalité française, un constat hyper hyper alarmant

Un recul de la fécondité menaçant grièvement la croissance de la France tout en bousculant mortellement ses finances publiques. 

Une natalité ayant hélas emprunté la pente de la dégringolade depuis plus d´une décennie, poursuivant dès lors une chute pouvant atteindre un niveau historique ! 

De plus, il semblerait que tant que le nombre de femmes de 20 à 40 ans continuera à s´amoindrir tel que cela est en train de se produire depuis le milieu des années 1990 ; tant que l’âge moyen de la maternité ne cessera de croître ; tant que les jeunes générations seront hantées par l'inquiétude – ô combien ravageuse ! – quant à leur avenir embourbé par la forte foudroyante inflation, en France, la natalité continuera à baisser fortement. 

Nonobstant, sachez que, en dépit du fait que le taux de fécondité de la France soit en repli, ce taux reste le plus élevé de l’Union européenne. 

En Europe, quels ont été les pays qui se sont enorgueillis d’avoir été champions de la natalité ? 

Quelles sont les mesures dégainées par le président de la République française visant à faire accroître la natalité ? 

Serait-il louable de considérer l´utérus de la femme en tant qu´outil au service du redressement de tout un pays ? 

Quant à la natalité espagnole, de nos jours, où en est-elle ?

"Les Chèvres !", une captivantissime délirante comédie ! Une histoire animalière fort insolite voire complètement loufoque d'un improbable procès totalement déjanté ! !

 

Saviez-vous qu’au 17e siècle, les animaux avaient droit à un procès et qu´ils pouvaient alors être jugés pour avoir commis un délit, un dommage ou même un crime ? 

Sachez que, quoique cela puisse paraître absurdissime, de 1610 à 1760, les procès d'animaux dans un tribunal où l´on côtoyait des avocats et des juges, étaient bel et bien courants, et les propriétaires de ces pauvres bêtes, des jars, des juments, des truies, des porcelets et bien d´autres, étaient eux aussi jugés, risquant tout autant soit la pendaison, le terrifiant écartèlement ou l´abominable empalement.

Tout en nous faisant remonter le temps en nous faisant revenir en 1644 et en nous dévoilant tout un pan de l´Histoire de France au moyen d´un déferlement de costumes, perruques, calèches, décors majestueux et moyenâgeux, dans cette comédie cocasse signée Fred Cavayé, on nous embarque dans une aventure judiciaire au cœur de laquelle un avocat, qui n'a jamais gagné le moindre procès et dont les clients sont morts, soit écartelés, soit empalés ou ébouillantés, autrement dit, le pire des avocats de France, est contraint de défendre Josette, 11 ans, accusée à tort du meurtre d’un maréchal de France, du moment qu´il n´avait nullement compté sur le fait que Josette n'était nulle autre qu'une chèvre et qu´il devait à tout prix gagner un procès ! 

Ce piètre avocat, arrivera-t-il à sauver sa cliente la chèvre ? Et, parviendra-t-il à donner un nouvel élan à sa carrière ? 

Pour en savoir plus, laissez-vous emporter par l´humoristique burlesque absurdité en regardant ci-dessous la bande annonce de cette comédie hautement divertissante où l´humour hilarant règne en maître.

 

Eh ben alors ! Avez-vous hâte de voir ce film d´époque – Ô combien farfelu ! – et d´assister à ce procès hors-normes bondé de rigolos duels de plaidoiries imbibées d´une bonne dose de quiproquos hyper époustouflants ? 

Dites la raison pour laquelle ce système judiciaire nous paraît, de nos jours, si incongru voire stupéfiant et fortement inadapté.

La prolifique prolifération des livres sur les miséreux clochards – Que dis-je ! – les SDF croupissant dehors par tous les maudits temps

 

Alors qu´en France, des centaines et des centaines de milliers d´individus crasseux, dépouillés de dignité, dorment dans la rue sous une étouffante chaleur accablante ou sous un glacial venteux vent mordant, des gueux aux âmes meurtries endurant sur pas mal de trottoirs leur ivresse sans espoir, de plus en plus nombreux et nombreuses sont les écrivains retraçant ces descentes aux enfers, ces vies de démunis rongés par la détresse vivant en marge de la société. Le tout dernier enfanté, "La Manche" du romancier français Max de Paz (Parution : février 2024). 

Quoique visible, cette population des sans domicile fixe, de véritables « gueules cassées » aux vies brisées, demeure assez mal connue en dépit du fait de s´être convertie en un phénomène social alarmant que l´on fait semblant de ne pas percevoir alors que, regrettablement, il existe bel et bien. 

Cette tendance, serait-elle due au fait que la pauvreté hante nos foyers, une précarité creusant dès lors encore plus les profondes profondeurs du fossé des inégalités ? 

Mais bon sang ! C’est quoi ce monde qui, tandis que des tas et des tas de hordes de sans-abris sont forcés de vivre dans la rue, permet qu´un arsenal d´ immeubles vacants et d´appartements inoccupés continue à l´être ? 

À savoir : 

Actuellement, la France compte quelque 300 000 sans-abris. 

Lisez le descriptif de "La Manche", ouvrage signé Max de Paz . 

« Je le sais, moi, que l’aumône est un tunnel infini, un cycle infernal où la manche d’aujourd’hui cultive celle de demain. Je sais que les pièces achètent notre calme, qu’il n’y a pas de plus grande gamelle à chien docile qu’un petit pot rempli de pièces. Mais il se trouve que je crève la dalle. J’ai faim, j’ai froid, je suis seul ; trio de malheur qui, depuis l’éternité, emporte violemment les sans-abri du monde dans le piège de ce cérémonial, le jeu de la petite monnaie glissant chaque jour de mains propres en mains sales, et lie fatalement le destin de mon cul à celui du trottoir. La manche m’attache au sol, m’installe et me ligote. » 

Dans le cinquième arrondissement de Paris, un jeune homme nous parle. À seulement vingt ans, il vit à la rue. Sa famille s’est désintégrée après une série de malheurs et, depuis, il tente de survivre avec une bande de compagnons hauts en couleur. Ensemble, ils affrontent le regard des passants : ceux qui font semblant de ne pas les voir, qui ont mauvaise conscience ou témoignent du mépris. Un soir, le narrateur rencontre Élise, une SDF poète à ses heures. Les mots et les poèmes d’Élise éveillent chez lui le besoin de lutter. Il pressent, et il sait, que son monde doit changer. 

 Source : Quatrième de couverture issue de "La Manche", Max de Paz (Gallimard, 2024)

L´École Officielle de Langues célèbre le bicentenaire de la mort du peintre Théodore Géricault avec une vidéo !

Les membres de notre Département de Français tiennent fortement à remercier la gentillesse de Manal, notre auxiliaire de conversation, qui a été la créatrice de cette vidéo (postée ci-dessous); un très bel hommage à Géricault. Et l´on est surtout amplement reconnaissants pour tous ses grandissimes efforts louables, déployés pour faire en sorte que son travail à l´École Officielle de Langues d´Almendralejo soit excellentissime. 

Dès lors, dès que vous aurez vu la vidéo, ce sera à votre tour de défricher d´autres sentiers qui vous mèneront à mieux connaître ce génie de la peinture francophone fort méconnu. Et l´on espère surtout vous avoir bien donné envie de le faire et que l´on aura aussi réaffirmé que la France est une puissance mondiale, riche culturellement que l´on continuera à déceler tout au long de l´année scolaire. 

À suivre…

Attention au lapsus qui a été fait: le naufrage du navire, cela s´est produit en 1816, et pas en 1916 (Vidéo: 01:42).

« Le Sourire d'Auschwitz », une bande dessinée de sorte à ne jamais oublier

 

Une BD parue le 17 janvier 2024 où Stéphanie Trouillard (la scénariste) et Renan Coquin (le dessinateur), deux êtres ruisselant de talent, ont veillé à ce que chacun puisse mieux connaître voire ausculter le portrait d´une résistante bretonne ayant tenté de faire fléchir le mal, Lisette Moru, une âme anonyme oubliée de l´anéantissante hyper cruelle sanguinaire Seconde Guerre Mondiale, en décryptant la vérité sur son arrestation ainsi que sur sa disparition ; et en se penchant aussi sur le sort écorché – Que dis-je ! – broyé de son ami Louis Sèche. Autrement dit, un bel honorable hommage poignant ; un exceptionnel destin tragique, vilainement obscurci par une République française amnésique, d´une héroïne méconnue pouvant profondément vous bouleverser et éminemment marquer voire s´ancrer dans l'Histoire de France en cessant d´être enfoui dans les profondeurs des oubliettes ! Un génial  grandiose ouvrage qui va commencer à en faire écho de sorte à ce que sa mémoire ne s´efface pas, c´est ce à quoi cette BD va sûrement pouvoir contribuer ! 

Regardez la photo de la couverture faite lors de l´arrivée de Lisette à Auschwitz-Birkenau, un camp d’extermination nazi dans lequel elle fut déportée le 24 janvier 1943 et où elle est morte à 17 ans et demi. Son sourire, serait-il un signe de bravoure voire de défi ?

Cette histoire tout au long de laquelle on s´attache à dépeindre une histoire humaine se déroulant lors de la Seconde Guerre mondiale – un conflit ô combien meurtrier et hideusement sanglant ! –, serait-elle une histoire incontournable et qui implacablement pourrait vous envoûter ?

La Seconde Guerre mondiale et le nazisme est un des sujets de prédilection des écrivains alors que des abîmes morbides, des médiocrités ténébreuses, des horreurs atroces, des barbaries ignobles, des sauvageries macabres de notre époque à raconter, on n´en manque pas ! A quoi est due cette infernale obsession ? N´en êtes-vous pas saturés ? 

Sera-t-il un livre qui recevra les félicitations des profs d´histoire et des historiens ? 

Dans votre pays demeurerez-vous embourbés dans une outrageuse époque, continuant à être une actualité frappante, cinglante et une source inépuisable, imparable ?