8 nov. 2020

Nos héros en blouses blanches fortement épuisés émotionnellement et ayant des esprits apeurés qui commencent à s'essouffler

Un état qui pourrait faire accroître le risque d’erreurs ! 

Au fil du temps, nos héros en blouses blanches, confrontés aux malades et aux dépouilles de patients décédés, submergés par un épuisement profondissime, ressentant une lassitude physique, comme mentale, croissante qui s'accumule, ayant à faire face à un rythme effréné lors de multiples journées harassantes, surchargées de travail hyper stressant voire traumatique, nuisant aux capacités physiques et cognitives quelles qu´elles soient, s´effondrent et, à bout de souffle, ils sont alors poussés à contacter des plateformes de soutien psychologique au fur et à mesure que la crise sanitaire, s´étant vilainement dressée, empire.

Pour clore, permettez-moi d´ajouter ce qui suit : pourvu qu’ils tiennent jusqu’au bout et qu´ils réussissent à arrêter de cauchemarder avec le son insupportable des fermetures des housses mortuaires et d´être happés par la descente aux enfers.

12 commentaires:

  1. Quelle dommage cette situation !

    Je me mets à la place de ces sanitaires et je ne peux pas imaginer comment ils peuvent être si peu protégées. De plus, il ne faut pas oublier que ces médecins et infirmier(e)s ne sont pas reconnus économiquement comme ils le méritent et moult d’entre eux possèdent des contrats temporaires, qu'ils ne facturent pas d'heures supplémentaires, qu'ils travaillent sans repos en faisant des services de nuit. Il faut penser que la fatigue physique et psychologique est très remarquable. Néanmoins, ils ont aussi d'autres droits qui ne sont pas reconnus de nos jours.

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  2. Ca touche mon coeur.
    Tout le personnel des hôpitaux connaissent la deuxiéme étape de la pamdémie, et ils ne l'oublieront jamais.
    ils ne sont payés ni reconnus avec le travail,un travail qui les marque par le nombre de décès.
    San les moyens appeopriés, ils faut l'impossible pour sauver le plus de personnes possible. Ils voient la souffrance physique et psychologique des patients et de leurs familles, ne pouvons pas être ou dire aurevoir.
    Et ils? ils n'ont rien de temp pour les accompagnes , seulement pour les souciers, mais sa psychologie est affecté par tant souffrance et pour tant peu reconnaissance.
    Cette pandémie fers des ravages.
    Les politiciens.....!!!!!

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  3. Bnsoir, mes camarades, et Carmen; je ne dois que remercier ta constance infinie, au milieu des passées difficultés, pour continuer à être fidèle même au blog qu´à nous...

    Oui, je suis d´accord avec toi et avec mes camarades qui ont déjà posté leurs commentaires ci-dessus: il n´y a pas des forçes sufissantes pour leurs envoyer, de courage, de remerciement...; je ne peux pas que prier avec toutes mes forces pour qu´ils ne baissent pas les bras mais, contrairement à tout ça, cette pandémie a démontré qu’au-delà de tout intérêt matériel, c’est l’intérêt de sauver les gens qui prime et qui pousse, constamment, les sprits de ces héros en blouses blanches...

    Bravo, courage, salut, nos amis, nos sauveurs...!!

    Merci, Carmen; un bise et bon courage...

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  4. On pourrait dire que ce virus est arrivé afin de nous tester en tant que société. Dans ce monde interconnecté est facile de prévoir une prochaine flambée de grippe mondiale.... d'où que....pas question d'épargner un seul sou à niveau sanitaire, scientifique...le bien public n'a pas de prix. C'est un devoir vis -à- vis de nos sanitaires,de tous ceux qui travaillent-voire crèvent- jusqu'à l'effondrement pour nous tous.
    Le moyen le plus brillant de les payer.



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  5. C'est terrible ce que cette situation fait à notre société. Et c'est vrai qu'on voit de vrais héros, mais il y a aussi des choses que beaucoup préféreraient ne pas voir: l'égoïsme, la peur, la mesquinerie ... J'ai hâte de revenir à une nouvelle normalité et que nous ayons appris quelque chose de toute cette horreur.

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  6. Bravo pour tous ces héros en blouses blanches et pour son travail incessant et constant dans cette pandémie assez nuisible à la santé physique et émotionnel des nos médecin.
    Étant donné que les dirigeantes n’agisent pas dans ce moment là et laissent tout la responsabilité dans les bras des médecins qui ne tournent pas la tête à la societé et luttenr chaque jour contre le monstre Covid-19 et expriment chaque instant pour saigner à ses patients.

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  7. Il n'existe pas de héros, il existe tout simplement des personnes ayant pour vocation d´aider.

    C'est agréable lorsque ton travail est reconnu par les gens, surtout après avoir constaté comment l'État et les politiciens n'estiment nullement nos efforts.
    Hélas, cette situation engendrera des conséquences psychologiques dans l'avenir.

    Merci beaucoup à tout le monde, vu qu´ensemble nous y arriverons.

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  8. Je partage l'opinion de Eva. Il s'agit d'une situation très dure à vivre et les soignants sont là pour nous aider, ils font leur boulot de la mailleur façonne possible malgré la difficulté de cette pandémie en tant physique et psycologique.
    En revanche, je voudrais remercier aussi des autres domaines qui donnent tout pour nous pendant ce réalité angoissante. Je parle des personnes qui travaillent avec les transports, les personnes qui désinfectent chaque endroit pour nous, les prof qui ont du se réinventer pour donner des cours à distances, les personnes qui travaillent au super marché, et des autres qui je mentionne pas. Pour tout eux, un gros merci.

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  9. Marie Angèle et Anne Marie Cabrejas vous proposent de lire :

    Comme à la guerre, le corps médical, ces hommes et ces femmes en blouse blanche, tels des anges gardiens, ont composé pour la plupart l´avant-garde d´une armée munie de dévouement sans limite, de générosité extrême, de courage immense avec lesquels ils se sont acharnés à combattre un ennemi inconnu, invisible, mortifère qui a terrassé la vie de moult d´entre eux et causé des problèmes éthiques, moraux, mentaux dont ils mettront bien longtemps à s´en remettre si cela est encore possible, au nom d´un serment juré à vie, celui d´ Hippocrate.
    D´autres, moins altruistes, pour qui la vie de leurs semblables vaut moins que celle d´une bestiole, les auront lancés à la mort sans le moindre souci ou remords, au nom du serment d´hypocrite, dépourvus de protection, de moyens, radinant tout soutien matériel, aveugles aux besoins les plus élémentaires de l´assistance aux malades mais, pourtant, bien éveillés pour ce qui a trait aux transactions économiques qu´une telle pandémie suscite.
    Cependant, il faut souhaiter que nos héros soignants persévèrent. Nous leur en serons toujours reconnaissants et ils obtiendront récompense. Nul doute !
    Les autres...

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  10. Bonjour à tous !

    À propos de ce sujet, je vais partager une conversation que j'ai eu avec une amie il y a quelques mois. Elle est infirmière et lorsque je lui ai remercié pour son effort pendant la lutte contre la pandémie malgré la peur, elle m'a repondu:

    "Mais non, je n'ai pas peur. Au moment où j'ai décidé de devenir infirmière, je savais que ce type de situation pourrait m'arriver. Cette année c'est la Covid-19 et je suis contente d'apporter mon grain de sable et d'aider mes collègues. Personne ne devrait me considérer comme une héroïne, cela ne me fait pas plaisir. C'est le fait de soigner les gens ce que je trouve vraiment satisfaisant".

    De ce fait, j'a changé mon avis sur cet aspect et je suis tout à fait d'accord avec Eva et Imma. Et, bien évidemment, on doit réspecter l'effort des professionnels de la santé chaque jour car leurs soins sont essentiels toujours, même s'il n'y a pas de pandémie.

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  11. Nos héros de la santé ! Le coronavirus accable certains professionnels de la santé qui travaillent dans des conditions précaires, font des heures supplémentaires, sont frustrés et tristes à cause de l'impossibilitéé d'aider tous les malades et, dans de nombreux cas, provoque de forts cas de dépression.

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  12. Les personnels de santé sont de plus en plus surchargés de travail, c'est très gros pour nous tous, malheureusement pour le reste d'entre nous, il est difficile de se conformer aux règles de sécurité et c'est ce qui se passe quand on ignore, on se suicide.

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