Il paraît qu´un professeur de 47 ans a été brutalement assassiné parce qu'il enseignait la liberté de penser, la liberté de la presse. Un drame effroyable vachement odieux ayant le vendredi 16 octobre douloureusement bouleversé, voire abattu tout un pays hyper gangrené par l´islamisme.
Bien qu´il soit vrai que ce serait vraiment trop injuste de montrer du doigt tous les musulmans et toutes les musulmanes, autrement dit de les stigmatiser, cependant, qu'est-ce qui a pu pousser cet adolescent de 18 ans, un Russe tchétchène ayant basculé dans l’islam radical, vers un tel acte si barbare, si atroce?
A savoir :
L´enseignant avait montré sans porter de jugement les caricatures de Mahomet publiées dans "Charlie Hebdo" à ses élèves de 4ème lors d'une session de sensibilisation à la liberté d'expression. Il avait même demandé aux élèves musulmans de sortir, avant de les montrer.
D´ailleurs, il convient aussi de signaler qu´au programme scolaire de 4e de l’éducation nationale, on évoque les attentats de janvier 2015, et l´on rappelle la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, ainsi que la loi de 1881 sur la liberté de la presse.
Mais par malheur, il y aura un parent d'élève qui osera appeler sur les réseaux sociaux à la mobilisation contre Samuel Paty de sorte à ce qu´il soit renvoyé, à la suite de son cours sur la liberté d'expression.
Deux jours après l'attentat, le ministre de l'Intérieur a annoncé sa ferme intention d'expulser 231 étrangers soupçonnés de liens avec l'islamisme. Parmi ces 231 étrangers, 180 sont actuellement sous les verrous.
Et finalement, Macron vient d´annoncer que la France ne va pas renoncer aux caricatures, aux dessins de quoi que ce soit.
En fait, ce qui est bel et bien regrettable c´est que certainement ce professeur n´ait pas pu bénéficier de la protection suffisante de la part de la police en tenant compte les menaces meurtrières qu’il avait sûrement reçues. Donc, dès lors, comment vont-ils s´y mettre de sorte à garantir une protection suffisante – à supposer que cela soit réalisable – à tous ces enseignants ?
Bâillonnés, pourchassés, traqués par ces pensées si obscurantistes, nos professeurs réussiront-ils à être épargnés par cette cruelle vague mortifère sans être contraints de se retrancher au fin fond d´un espèce d´ermitage afin de préserver leur sécurité, leur vie et celle de leurs proches et de cesser d´être muselés en tant que voix de la laïcité ?
Quoi qu´il en soit, Samuel Paty a néanmoins sûrement réussi, contre tous ces fanatiques dévots de l´islam acharnés à sa perte, à ne pas faire aboutir les efforts déployés par nos professeurs à l’autocensure.
Ce sont des événements terribles qui doivent cesser maintenant. Il est incompréhensible qu'au XXIe siècle il n'y ait pas de liberté d'expression
RépondreSupprimerÇa a été affreux.La liberté d'expression est une de nos valeurs fondamentales. Je suis pour Macron quand il dit :"La liberté, nous la chérissons ; l’égalité, nous la garantissons ; la fraternité, nous la vivons avec intensité. Rien ne nous fera reculer, jamais." Il faut ne pas oublier à Samuel Paty et jamais renoncer à des idées para lesquelles il a été tué. Pour lui, pour sa famille, pour tous les enseignants, pour tous nous
RépondreSupprimerIl est regrettable de constater comment, de nos jours, il n'y a pas de liberté d'expression, ni de liberté pour quoi que ce soit, même pas dans ton propre pays. Le pire, c´est que la plupart des personnes brandissant des idées radicales, ce sont des personnes ayant été accueillies ou qui sont venues pour travailler.
RépondreSupprimerC'est dû à ce fait qu´il devrait exister un meilleur contrôle sur les étrangers et si lui ou elle est dangereux, il faudra les déporter plus rapidement.
A vraix dire, je me sens profondément déçue par cette société.
RépondreSupprimerNous avons voulu un monde òu la liberté d'expression est un droit garanti par les droits humains.
Oú tous le monde peut s'exprimer, où nous devrions pouvoir être en possession de diverses idées politiques ou avoir differentes croyances religieuses.
Malgré tous les éfforts éffectués, nous nous écrasons, sans cesse, contre le fanatisme de certains extrémistes se réclamant de l'islam.
D' une part nous sommes confrontés à une minorité d'extrémistes qui sont nés en France, ou bien, ce pays les a accuellis, et fournit la possibilité de relancer une vie avec liberté, par contre, ceux-ci, ont choisi la voie de la violence, de l'intolerance et du fanatisme.
Et d' une autre part, nous pouvons constater que la plus part des musulmains ne sont pas d'accord avec la violance provoquée par une poignée de fanatiques.
Franchement, je souhaite que cette grande majorité puisse convaincre a cette poignée de fanatiques.
Un gigantesque Merci pour ton excellentissime commentaire.
SupprimerBien que ce soit parfois difficile de s'y mettre lorsqu´il y a tant et tant d'autres choses à faire, tu t´y es quand même attelée et j´en suis infiniment ravie. Merci pour ton temps.
Le meurtrier de Samuel Paty, affreusement décapité pour aucune raison du fanatisme religieux, cela entraîne des conséquences internationales. Les musulmans loin de condamner cet acte barbare le justifient.
RépondreSupprimerIls viennent dans nos pays, ils sont partis à la recherche d’une vie meilleure, ils demandent le respect pour eux, mais néanmoins, lorsqu’un citoyen libre, un professeur attaché avec sa profession, avec ses élèves, il veut expliquer, il veut inculquer l’idée de la liberté, le droit de s’exprimer librement; ça lui coûte la vie parce qu’un fanatique religieux, sûrement manipulé par qui a d’autres intérêts cachés, il pense que cette offense doit êttre vengée par le sang.
La caricature est un élément essentiel de la culture française à laquelle ils ne renonceront pas, et la mort de Samuel Paty renforcera.
Salut.
SupprimerJe tiens à te remercier fortement pour ton si précieux commentaire. Je l´ai grandement apprécié. Je suis très heureuse d´avoir constaté que tu as voulu investir un peu de ton temps libre pour soutenir ce Blog en émettant un si intéressant avis. Encore une fois, merci.
Bonsoir, Carmen et mes camarades et amis:
RépondreSupprimerC´est pour moi un rendez-vous indispensable celui du blog; cette semaine malheureusement, nous nous sommes confrontés à la tyrannie de la violence et de la cruauté la plus extrême et la plus lâche: celle du fanatisme religieux...; dans ce cas, je suis tout à fait d´accord avec Eva, de laquelle son commentaire est plus dessus: vu que la plupart de ces gens assessins forment partie de la population accueillie par la France pour travailler, ayant reçu les soutiens pour mener une vie digne, c´est inadmissible qu´ils répondent en tuant tous ceux qui semblent contredire leurs idées et qui ne font qu´éxercer le droit irréprochable à la liberté d´expression...; pourquoi ne marchent-ils pas d´un pays qui ne leurs a fait que du bien...?
Comme disaient des amies très chères: ils pourraient partir aux pays plus en accord avec leurs idées, mon Dieu...!
Mes condoléances à la famille de M.Samuel Paty, et mon plus profond respect envers lui, aujourd´hui, fête de fidels défonts...R.I.P
Toujours ces nouvelles qui brisent le cœur...je ne trouve pas le mots. Depuis mon adolescence j'ai toujours mis en valeur les cours où on m'a parlé de la liberté, on m'a appris à dominer ce que je pense à propos un sujet. Malheureusement il n'existent pas beaucoup des professeurs qui parlent de la vie, de culture, de religion, de politique, d'actualité. Je connais pas ce prof cependant je voudrais le remercier pour montrer à tout ces élèves qu'on doit au moins essayer de rester comme personnes libres, on doit lutter contre les violences peu importe la raison, race, religion...
RépondreSupprimerMerci Carmen de parler à propos de ce sujet, on doit pas se permettre d'oublier ce événement si triste et injuste.
C'est triste d'entendre de telles nouvelles, la liberté d'expression que nous disions avoir acquise est constamment menacée. Je pense sincèrement que ce groupe de radicaux devrait être derrière les barreaux et essayer de faire en sorte que cela ne se reproduise plus.
RépondreSupprimerJe ne peux pas croire qu'au 21e siècle, ces choses se produisent encore
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