Regardez ci-dessous une Une emplie d´un humour glaçant où nos enfants sont pointés du doigt.
Source : Une de Charlie Hebdo (Édition du mercredi 26 août 2020)
Des cercueils en guise de cartables pour se rendre à l'école ! Encore ce débat sur le poids du cartable !
Croyez-vous que tout sera sous contrôle de sorte à assurer une rentrée scolaire apaisée et en toute sécurité? Ou plutôt, croyez-vous que la rentrée scolaire finira en hécatombe ?
Que ressentiront nos enfants en voyant cette Une si osée visant à instaurer un climat de stress dans la société ? Ce dessin, ça leur foutra la trouille ? Ça produira la panique et la psychose ?
Cette Une issue du magazine satirique Charlie Hebdo d´un humour très très noir, fort grinçant et archi alarmiste vu qu´elle pourrait semer la peur, vous a-t-elle fait rire ?
Cette image apocalyptique, la trouvez-vous de mauvais goût, révoltante voire insultante ?
Mais bon sang ! Pour quelle raison les gens pourraient avoir peur de la Covid à l´école et pas ailleurs ? L´école serait-elle pire que le camping, le train, le métro, les plages, les supermarchés, tous ayant été des lieux bondés d´un tas de personnes agglutinées sans distanciation?
Espagne malheuresement ne va pas sur le chemin de la baisse de contagions du Covid.
RépondreSupprimerLes plans pour le retour à la classe sont aujourd'hui un chaos. Tout est à mi-chemin entre le governement, les communantes, les syndicats et les associations de parents d'élèves..Il manque des médias et des protocoles, pour certains cours face à face, pour autres semi-face-à-face et aussi online.
Il faut revenir pour normaliser aux enfants et poue le parents reviennent au travail au 100%, l?economie en a besoin.
Il y a que èviter les foutes et assurant des espaces larges et aérés; embaucher plus d'enseignants et réduire les groupes d'élèves. Distance et hygiéne.
Je ne vois pas l'humour sur la photo, ce que je sais c'est que tous vivons une expérience trés négative, mais pour les enfants plus, parce qu'ils vivent sans expressions d'affection, trés important pour eux.et avec le peur sociale devant leurs yeux.
C'est pourquoi une certain normalité est nécessaire.
Je suis tout à fait d´accord avec Mercedes et je partage son chagrin pour les petits enfants, contraints à défiler vers les écoles: bâillonnés, sans jeux, sans cris, sans liberté, et à entrer dans leurs classes en ligne, en se soumettant aux rituels de purification comme dans un champ de concentration..., loin des câlins, des affects,ayant besoin de l´amour comme de l´air...
SupprimerNon! Charlie Hebdo avec tous mes respects, il n´a pas raison; ce ne sont pas nos enfants qui ramèneront le virus à leur maison, mais leurs parents, s´agglutinant à l´entrée de l´école, célébrant des mariages, des baptêmes et des communions...
On ne doit oublier non plus notre troisième âge, qui a sorti toute une génération avec très peu de ressources,qui a connu une guerre civile...; beacoup d´entre eux restent comme le comte de Monte-Cristo en prions, loin de leurs familles...
Alors, Charlie Hebdo, pardonne-moi, ne nous distrait pas: les enfants comme les plus âgées, ce sont les victimes de la pandemie, et pas les bourreaux...
Précisément je viens de lire l'article de David Trueba sur les professeurs et la rentrée scolaire, les risques, la situation de panique dont tout le monde parle puisque la peur a pris le control, nous a privé de liberté en tant que phantôme de chaque pas qu'on avance.
RépondreSupprimerPour moi, les enfants doivent être protégés ,nonobstant , malgré la situation de pandemie, c'est très nécessaire la socialisation des plus petits. Au contraire, on aura des maladies pshycologiques et en plus des autres de santé.
Marie Angèle et Anne Marie Cabrejas vous proposent de lire :
RépondreSupprimerCharlie Hebdo sonne à nouveau le glas !
À la Une de son journal, une image impactante, terrifiante, apocalyptique en rapport avec le retour en classe de milliers d´écoliers pour qui cette année ne sera pas comme les autres...
Des enfants sous l´emprise de la mort qui pèse sur leurs dos...
Des papillons symbolisant leurs âmes qui s´envolent vers l´au-delà...
Rentrée scolaire obligatoire par ordre de gouvernements qui bafouent la tutelle parentale privant les parents du droit à décider si oui ou non envoyer leurs gosses à l´école.
Des États qui se veulent rassurants, soucieux de normalité, décriant la gravité d´une pandémie que l´on a abattue sur la planète dans le but d´instaurer un nouvel ordre mondial.
Au prix de combien de vies ? En France, qui sait ? En Espagne, le bal des chiffres passe de 28.000 à près de 55.000 morts selon la source.
Qu´importe ! En fin de compte, ces milliers de plus ou de moins, ne sont bons qu´à la statistique.
En outre, ce sont pour la plupart des vieux qui ont accompli un dernier acte solidaire: renoncer à la retraite pour alléger les caisses de la Sécurité sociale.
Bof ! Mourir, c´est le moins qu´ils pouvaient faire !
Franchement ! Dans quel monde vivons-nous puisque nous sommes tous visés?
Au fait, messieurs les journalistes de Charlie Hebdo, votre vignette ne fait pas mal aux yeux uniquement pour la forme des cartables mais aussi, en raison de la tenue des deux écoliers: rose pour la fillette, bleue pour le garçon.
Le stéréotype ! Le genre ! Cette question d´État, celle-là c´en est une !
Point de cris horrifiés, ni de syncopes chez nos législatrices et nos législateurs ! Point de réunions ministérielles à l´Élysée, ni de conférences de presse convoquées à la hâte ! Matignon n´est point saisi ! Mais, prenez garde !
Curieux ! Les féministes n´ont pas encore repéré votre dessin. Les esprits sont ailleurs...