30 mai 2020

Le groupe au losange battant des records à la baisse

Alors que quelques griffes automobiles réussissent la prouesse de décrocher une flamboyante performance et de faramineuses fortunes, le constructeur automobile Renault, fortement fragilisé, ébranlé voire flambé par un abominable mortifère boulet, celui de la si redoutable crise sanitaire, pourrait se voir contraint de baisser le rideau de plusieurs usines en France au bord de la faillite, jetant par milliers des salariés à la rue et cessant la production de modèles au passé glorieusement légendaire. 
Quoique de rudes revendications, de menaçantes grèves, d´ invraisemblables charges, désarmant qui que ce soit tiraillé par de telles pressions intransigeantes, fussent bel et bien les symptômes liés à une inquiétante crise qui couvait depuis bien longtemps, cette maudite crise s´est hélas aggravée au cours d´une année cruellement plombée par le faible écoulement des voitures neuves dû à l´effondrement de la demande, par la spectaculaire dégringolade des immatriculations de voitures due à la chute brutale des ventes de véhicules en fort recul, et finalement par le fait qu´aucun point de vente n´a été ouvert lors du confinement et que des usines françaises du groupe Renault ont été mises à l’arrêt dans le dessein de protéger les salariés. 
Dès lors, totalement désarmé et grièvement affaibli avant l’impact de l’épidémie de la Covid-19, le groupe au losange a besoin d´un redressement – Que dis-je ? –, d´un titanesque arsenal de mesures hyper vigoureuses de soutien de sorte à pouvoir redémarrer, à soulager sa trésorerie désastreuse, terriblement émiettée et dont les comptes sont enlisés dans le rouge sang de boeuf ; bref, de sorte à tenir le coup – mais pour de bon ! – et à faire cesser ce violentissime accablant acharnement à l´égard de ses employés sous la terrifiante emprise de la crainte de perdre leur gagne-pain. 
Le groupe Renault, l´ex-fleuron industriel français irrémédiablement condamné – si je puis dire –, pourrait-il disparaître rongé par la concurrence agressive de marques telles que Peugeot ? 
Comment ce constructeur automobile en forte détresse dont le sort dépouillé d´espoir s´est désastreusement empiré, pourrait-il arrêter de saigner et œuvrer pour sa survie tout en assurant sa pérennité ? 
Pour en finir avec une telle saignée agonisante, l'Etat français, le premier actionnaire du constructeur avec 15 % du capital, finira-t-il par voler à son secours en lui injectant une aumône de plusieurs milliards d´euros à fonds perdus issus de l´argent du contribuable français?
A savoir : 
A condition que chaque Français achète une voiture électrique à plus de 30 000 € chez Renault, avant que le prix de l'électricité ne bondisse à la suite de la fermeture programmée des centrales nucléaires qui pourrait estomper l´intérêt vis-à-vis de l'électrique, cette filière automobile devrait commencer à s´assainir ; elle serait donc sauvée et pourrait se redresser et se hisser de nouveau en tant que leader mondial tout en réussissant l´exploit de convertir la France en championne des véhicules propres. 
Ou bien, pour s´en sortir et rejaillir en tant qu´industrie automobile florissante comme naguère, le groupe Renault pourrait brader son stock avec d´alléchantes promos. 
Et vous, vous aimez rouler en Renault ? Ou plutôt prôneriez-vous le tout-électrique pour les voitures?

24 mai 2020

Une agriculture française perturbée profondément, voire menacée mortellement par la COVID-19

Comment redonner le sourire aux agriculteurs et aux agricultrices qui cumulent de fortissimes pertes ? 
Comment distiller cette crise si perverse ayant effroyablement ébranlé ceux et celles qui produisent la nourriture des Français et des Françaises à la suite de l´effondrement de la consommation dû aux fermetures des bistrots – dont l´avenir était agonissant – et des restaurants, aux annulations de moults festivals, ainsi qu´aux maintes interdictions des marchés alimentaires couverts ou en plein  air  et  à  l´infernale baisse létale des exportations? 
Généralement asphyxiés, martelés voire frappés grièvement par le déferlement du virulent fouettement de la sécheresse, des orages de grêle, du gel ou par la prolifération des maudites concurrences jugées déloyales et par le foisonnement des prix tirés vers le bas, et, dès lors, en pleine détresse privés de la quasi-totalité de débouchés, ces paysans et ses paysannes (viticulteurs et viticultrices, maraîchers et maraîchères, horticulteurs et horticultrices, arboriculteurs et arboricultrices, etc.) assistent, totalement démunis, à la brutale fragilisation de leurs moyens d’existence qui ne cessent de s´effriter jour après jour, fortement happés par l´immense tourbillon de la pandémie de la COVID-19. 
N'ayant presque aucune marge de manœuvre, des exonérations de charges sociales, des prêts à taux zéro, des mesures urgentes de soutien de la part des autorités européennes (PAC) pourraient les aider à survivre, à rester la tête hors de l'eau. Cependant, quelles que soient les mesures que l´on applique de sorte à surmonter cette crise si anxiogène, il est fort bien dommage que l´on ne sache comment elle continuera à affecter ce secteur agricole si vital, d´ici à quelques mois. 
Pour clore, je tiens à vous signaler que quoique les  agriculteurs  et  les  agricultrices  sombrent  amèrement  dans  les  voraces  crocs  de  l´endettement sans trop se plaindre malgré que leurs productions de denrées périssables ou leurs stocks peinent à être écoulés, cependant des hommes et des femmes basculent dans le travail agricole en tant que travailleurs saisonniers et travailleuses saisonnières. Des serveurs et des serveuses, des maçons et des maçonnes, des coiffeurs et des coiffeuses, etc., une main-d’œuvre atypique florissante depuis la fermeture des frontières ciblant l´enrayement de la propagation de la si redoutable accablante Covid-19 et privant la France de ses travailleurs et de ses travailleuses issus de l´étranger. 
La COVID-19 aurait-elle engendré dans la société un retour à la terre ? Autrement dit, la COVID-19 aurait-elle semé un attrait des métiers de l’agriculture – Une besogne ô combien grandement fastidieuse ! – de telle manière que l´on récolterait désormais une main d’œuvre disponible pour travailler dans les corvées des champs hexagonaux?

16 mai 2020

Le Festival de Cannes, la manifestation cinématographique la plus prestigieuse et la plus médiatisée de la planète, fauché par les contraintes posées par la haïssable épidémie du coronavirus

Un terrible coup de massue très très rude ! Terriblement assommant ! 
Cependant, de sorte à soutenir l´industrie cinématographique internationale et à réjouir tous les cinéphiles de l´univers, en dépit de ce si meurtrier fléau sévissant dans le monde entier, du 29 mai au 7 juin, se tiendra en ligne "We Are One : A Global Film Festival". Cela sera aussi l´occasion de faire des dons qui reviendront à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour lutter contre cette titanesque pandémie. 
Cet événement virtuel offrira gratuitement sur la plateforme YouTube des longs métrages, des courts métrages, des documentaires, de la musique et des tables rondes virtuelles. Quiconque pourra alors cesser d´arpenter de long en large sa tanière et se convertir en public de ce royaume des vidéos dans le domaine cinématographique. 
Sachez aussi que malgré le refus d’une édition numérique, les organisateurs de l´événement phare de Cannes ont finalement accepté de participer à ce festival numérique, et que malgré le sort de l´âme de l'événement majeur dédié au septième art, le meilleur irremplaçable tremplin pour un film drainant chaque année des dizaines et des dizaines de milliers de visiteurs de tous les continents, cette version online inédite supposera en quelque sorte le début de reconquête et de redéploiement du cinéma en proie de nos jours à l´effroyablissime crise sanitaire planétaire de la si détestable vague de la Covid-19 qui balaye tout. 
Mais ce n´est pas tout ! 
En outre, du 22 au 26 juin, se tiendra en ligne le Marché du Film. 
Pour clore, je tiens à vous rappeler que, en 81 ans, c'est la troisième fois que ce mythique événement planétaire est annulé. 
Premier coup d'arrêt à l'événement cannois: la tourmentante tourmente de la Seconde Guerre mondiale. 
Deuxième coup d'arrêt à l'événement cannois: les turbulentes turbulences de Mai 68. 
Espérons que ce scénario si noiricissime sera le dernier et que ce sera aussi la dernière fois que la Mecque du septième art, passionnant les esprits intellectuels fort torturés, désertera la Croisette. Un suspense qui pourrait, hélas, durer plusieurs mois voire de longuissimes années ! À moins que la maudite menace de la Covid-19 ne disparaisse à jamais. 
A suivre…

10 mai 2020

Les hôpitaux sous tension bien que les services des urgences soient de moins en moins engorgés

Rude épreuve celle du système hospitalier en détresse bouillonnant d’une redoutable activité ! 
Une effarante tension qui s´accroît, qui n'en finit pas, du moment que, depuis le début de la pandémie de Covid-19, la pénurie d’équipements de protection, notamment de masques, persiste cruellement en dépit des dons qui ne réussissent pas à pallier ce manque de matériels si criant et si absolument ahurissant, semant la mort et plongeant des millions et des millions de personnes dans la terreur. Une désolation et une souffrance intenable ! Un hideux tableau de fléau biblique. 
Alors que nos héros et nos héroïnes en blouses blanches en ont besoin plus que jamais, les masques si prisés sont soit gardés sous clé soit distribués au compte-goutte dans les hôpitaux. Cette denrée précieuse si rarissime et si convoitée a même été dérobée par milliers, de vilains actes hautement mortifères! 
Pendant combien de temps le personnel soignant continuera-t-il à monter au front désarmé, démuni de moyens de protection ? Une situation alarmante vu que le combat pourrait se terminer faute de combattants et de combattantes craignant terriblement d´être contraints d’avoir à pratiquer une médecine d’abattage. 
L’hôpital public, si flétri, pourra-t-il s’en sortir ? 
Ça sera pour quand la perfusion d’argent pour un hôpital public souffrant périlleusement d’un manque de masques (chirurgicaux, FFP2 ou FFP3), mais aussi de gants, de lunettes de protection, de blouses et de surblouses, de surchaussures, de charlottes, de gel hydroalcoolique, de cotons-tiges pour les tests de dépistages et de certains médicaments indispensables en réanimation, obligeant nos héroïnes et nos héros en blouses blanches à faire du rationnement ? 
Et à entendre les multiples incessants appels aux dons des directions des hôpitaux, s’avérant salvateurs, l´Etat a-t-il suffisamment bien répondu aux besoins de ce personnel soignant ? Ou avez-vous plutôt l´impression qu´il mène une exécrable politique criminelle imprégnée d´une sale lâcheté en mettant en danger la population déboussolée par cette maladie si ravageuse ainsi que le corps médical et le personnel soignant ?

3 mai 2020

Laissez des mots de remerciements sur vos poubelles qui iront droit au cœur de nos chères éboueuses et de nos chers éboueurs.

Et d´ores et déjà, n´oubliez pas de jeter vos gants sales peut-être contaminés, vos masques possiblement infectés, vos lingettes nettoyantes souillées, vos mouchoirs usagés dans des sacs bien fermés ! Mais surtout, cessez, une fois pour toutes, de balancer vos sales mégots ou quoi que ce soit par terre, dans la rue ! 
Faites en sorte que ces invisibles, des travailleurs et des travailleuses de l’ombre qui généralement sont abominablement ignorés, voire regardés avec un implacable dédain, deviennent visibles et que leur dévouement ne passe plus inaperçu. 
Sachez que quoique le volume des déchets industriels, issus des restaurants et des petits magasins, aient drastiquement baissé, engloutis par l’ombre, ces agents de collecte de milliers et de milliers de tonnes d´ordures ménagères, entassés à trois dans des cabines de camions infectes à moins d´un mètre les uns des autres et dont le quotidien est rattaché à la souillure, continuent à faire leur besogne si ingrate, leur tournée fort exténuante entre la tombée de la nuit et le lever du soleil, engouffrés dans le silence, la peur au ventre, en pleine épidémie de coronavirus. Tout en s'exposant fortement aux risques infectieux liés au virus d´infection, ces hommes et ces femmes font tourner un pays en dépit de tout et évitent une seconde crise sanitaire. Par conséquent, ce beau soutien moral par le biais de petits messages réconfortants, d'encouragements et de remerciements scotchés ou collés sur vos sacs-poubelles ou sur les containers verts à roulette ou sur les haies d’honneur faites par balcons interposés, devrait désormais germer, voire fleurir de tous côtés. 
Mille mercis et total respect à ces héroïnes et ces héros de l´aube, nos chers formidables éboueurs et nos chères formidables éboueuses dont le métier est rarement valorisé, – étant hélas lâchement confrontés à de nombreux dégueulasses comportements hyper méprisants, outrageusement vilains –, et qui, malgré tout, sont restés vaillamment fidèles pour le bien-être de tous leurs concitoyens et de toutes leurs concitoyennes, de sorte à garder nos villes, nos villages, nos hameaux ou d´autres lieux quelconques de l´univers propres !! 
Enfin, pour terminer, je tiens à vous dire que j´espère que cette gratitude à l´égard de ces véritables vénérables remparts humains à la propagation survivra dès que tout aura arrêté d´aller de travers et que la menace de la dangerosité́ de cette saloperie de Covid-19 se sera estompée, même lorsque ces éboueurs et ces éboueuses n’hésiteront pas une seconde à pourrir nos vies baignées d´une ambiance douillette lors de leurs brutales revendications au détour d´une grève.

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Prof de français, École Officielle de Langues d´Almendralejo

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Je tiens à vous souhaiter de tout cœur la bienvenue sur le Blog "À propos de…" et à vous adresser mes sincères remerciements pour vos prochaines participations qui vont être sûrement très actives, très acharnées, sans relâche. Ou du moins je l´espère. J´espère rester ultra présente sur le blog, vu que ce blog c´est moi, c´est vous, c´est nous, et grâce à vous il va continuer à vivre encore longtemps ! Réagissez en y laissant vos commentaires, avis et expériences ou vos questions. Prolongez le débat ! J´espère que vous allez prendre plaisir à découvrir tout ce que je vous proposerai chaque semaine. Je vous souhaite une bonne lecture et une bonne écriture ! Je compte sur vous et à très bientôt ! https://eoialmendralejo.educarex.es/index.php/comunidad/enlaces