Xavier Fortin (Mathieu Kassovitz) est arrêté en janvier 2009 dans le sud de la France, dans une grange où il vivait avec ses enfants. En mars 2009, il est condamné à deux ans de prison, dont vingt-deux mois avec sursis. Onze ans plus tôt, il avait récupéré ses deux fils, 6 et 7 ans, chez leur mère. Il ne les ramènera jamais. "Vie Sauvage" retrace les 11 années de cavale de Xavier, Shahi Yena et Okwari à l’écart de la vie moderne et sociale.
Regardez la bande annonce de ce drame familial:
Les faits divers sont-ils une matière incontournable pour le cinéma?
Comment peut-on disparaître pendant 11 ans en France avec 2 gamins sous le bras?
Connaissez-vous d´autres cas où le père n´a pas ramené ses enfants à leur mère qui en avait obtenu la garde?
Est-on libre de choisir notre mode de vie et de mener une vie semi-nomade avec nos enfants?
Que pensez-vous de ce mode de vie autarcique, sans scolarisation? De cette vie de marginaux, hors des sentiers balisés? De ce père sectaire?
Seriez-vous capable d´avoir comme seul domicile la nature, écarté de la civilisation, hors du système?
Est-elle si écœurante la société pour vous pousser à vivre en marge de la société de consommation? Que pensez-vous du consumérisme de la société occidentale? Broie-t-elle tout?
Une belle réflexion sur les choix de vie, sur l´éducation, sur les relations parents-enfants!
Une nouvelle histoire de fuite à ne pas manquer!
C´est une vérité très évidente que nous vivons dans un système qui peut être inhumain à cause de l´excessif matérialisme qui donne plus de valeur aux choses que ce qu´il donne aux personnes...; dans ce film on montre un homme qui est très sensible à cette réalité et qui essaie de se cacher lui même et ses fils dans une grange, hors de la société...
RépondreSupprimerC´est une utopie, cela, car comme dit Tomas Merton: "Les hommes ne sont pas d´îles"...; je crois que la meilleure maniére de vivre dans cette désordre peut être en essayeant de trouver le valeur malgré cette manque de valeurs...; et c´est en aprrenant à convivre sans se tuer comme l´homme trouvera vraiment sa propre essence d´être humain...bon soir...
Il y a des groupes de personnes qui ne sont pas d'accord pour respecter les règles de la société. En concernant à l'éducation, il y a des gens qui préfèrent éduquer leurs enfants chez-soi .
RépondreSupprimerD´un côté, je comprendre qu'il y a des gens qui ne sont pas d'accord pour éduquer leurs enfants dans le système traditionnel, puis qu´il est rigide et non individualisée. D´otre, la socialisation entre les égaux, les critères pour unifier le niveau de connaissance des élèves est, à mon avis, également très important.
En tout cas, je ne suis pas d'accord avec Xavier Fortin qui ai pris la décision par la force et sans le consentement de la mére de ses enfants..
Il fait deux jours que j´ai vu à la télè un reportage sur les familles qui ont décidé d´élever ses enfants chez-soi. C´est un méthode qui est à chemin entre la rupture avec le système traditionnel et la nécessité de que leurs fils ont la titulation pour trouver un emploi. Peut-être, l´élection de vie des parents convient l´avenir des jeunes.
RépondreSupprimerSelon moi le père n’est pas coupable pour avoir choisi une manière de vivre d’accord à ses propres valeurs et different à cette qui impose la société, la même qui l’a été condanné. Alors, je me demande si ce parent est coupable qui est le responsable des atrocités que jour à jour vivent millions de petits enfants exploités et prostitués dans et pour notre société, à cause de notre société du bien-être. Je crois que tous nous avons de responsabilité sur cette situation, mais quoi faisons-nous ?
RépondreSupprimerC’est pour cela que je me demande, si sommes-nous mieux que ce parent à qui la société a jugé ?
Comme on dit, la réalité dépasse toujours la fiction.
RépondreSupprimerJe ne sais pas si les faits divers sont une matière incontournable pour le cinéma, mais, il n'y a pas de doute qu' ils sont une source inépuisable d’histoires.
Des faits divers les plus célèbres, sont régulièrement portés au cinéma, on trouve exemples innombrables dans les cinématographies de tous les pays. Ce genre des histoires, hors norme, sont vraiment inspiratrices pour les réalisateurs et c’est normal qu’ils souhaitent les porter à l’écran, qu’ils souhaitent défendre une version des faits, qu’ils veuillent, même, dénoncer.
On doit mentionner, aussi, la fascination des spectateurs par les grandes affaires criminelles et les histoires basées sur des faits réels comme celle-ci que nous raconte “Vie Savage”.