Les Bleus affrontent ce dimanche les redoutables All Blacks.
L’équipe de France de rugby dispute face à la Nouvelle-Zélande sa troisième finale de Coupe du monde, après avoir perdu celles de 1987 et 1999.
« C’est le match d’une vie », résume le trois-quarts centre Maxime Mermoz, conscient que l’exploit est à portée de main.
« On va se battre avec les armes aux poings », annonce le troisième ligne Imanol Harinordoquy, l’un des nombreux trentenaires à vivre son dernier Mondial.
« On va tout donner pour ne rien regretter, assure l’arrière Maxime Médard. Même si on doit se blesser, voire mourir sur le terrain. »
« C'était la finale rêvée depuis notre enfance. On s'est imaginé mainte et mainte fois jouer une finale de Coupe du monde contre les Blacks. Là, on a la chance d'y être », a dit le demi de mêlée Dimitri Yachvili.
« On aime bien la difficulté. C'est là qu'on arrive à se sublimer, à aller chercher le meilleur de nous-mêmes, croire à l'impossible », a affirmé l'ailier Vincent Clerc.
« C'était la finale rêvée depuis notre enfance. On s'est imaginé mainte et mainte fois jouer une finale de Coupe du monde contre les Blacks. Là, on a la chance d'y être », a dit le demi de mêlée Dimitri Yachvili.
« On aime bien la difficulté. C'est là qu'on arrive à se sublimer, à aller chercher le meilleur de nous-mêmes, croire à l'impossible », a affirmé l'ailier Vincent Clerc.
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