Le mercredi 22 février, une professeur d´espagnol de 52 ans a été sauvagement massacrée en plein cours par un de ses élèves – Quel effroi !! –, un ado de 16 ans, de seconde au lycée catholique privé Saint-Thomas d’Aquin à Saint-Jean-de-Luz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Sachez qu´il est en effet extrêmement hyper révoltant de constater une fois de plus, avec amère amertume, qu´au sein des établissements scolaires le nombre de victimes s´alourdit. Une victime de la folie d´un jeune adolescent sans que la moindre explication puisse éclaircir cet acte si macabre? Si c´est ce à quoi on s´attend en tant qu´explication, il est évident que l´on sera atrocement effaré et que l´on se méfiera de qui que ce soit où que l´on aille. Or, quoique ce soit un drame rarissime voire inimaginable, il est crucial que l´on ressente le besoin de chercher à comprendre la perpétration de ce si effroyable meurtre avec préméditation, commis de sang-froid.
D´ailleurs, tout en sachant qu´en France les pédopsychiatres, il n'y en a guère et que ce type de pathologie est difficilement soignable et probablement imprévisible, serait-il alors grand temps de placer des portiques détecteurs de métaux à l'entrée des écoles?
Et en plus, tout en sachant aussi qu´en classe, les hideuses injurieuses insultes adressées aux enseignant(e)s ne sont pas rares ainsi que les violentissimes violences rongeant le milieu scolaire, une effarante insécurité fort grandissante, à quand un gouvernement qui osera instaurer une loi qui ne disculpe plus les mineurs ?
Depuis une quarantaine d’années, la France ne cesse d´être cruellement endeuillée par la mort des professeurs, une dizaine de personnes ayant été tuées dans le cadre de leur fonction par des élèves, leurs parents ou des terroristes, entraînant une fortissime douleur attristante à maintes familles dévastées par ces actes ô combien délirants !