Sachez que les prisons françaises qui sont vilainement et régulièrement pointées du doigt pour les conditions de détention fortement inhumaines et dégradantes (insalubrité, hygiène défaillante, absence d’intimité, etc.), ont à nouveau atteint le niveau de surpopulation carcérale qu’elles avaient connu il y a deux ans renouant ainsi avec un ahurissant surpeuplement inacceptable qui sévit depuis près de quarante ans, entravant grièvement le travail de réinsertion. Et cette inexorable hausse de la population incarcérée a fait que le nombre de pauvres âmes placées sous écrou ait frôlé un niveau record historique en France, le pays des droits de l'Homme ! Un tristissime affligeant record ! Une réalité affolante ! Un gravissime intolérable affront à la dignité humaine et une sale tache sur la conscience collective !
À ce que l´on soit deux ou trois par cellule (ou une cellule suroccupée abritant – Que dis-je! – entassant 4 personnes écrouées passant des années et des années à l´ombre, et où deux pas représentent la distance entre le coin des toilettes et où l´on mange), ne pouvant compter que sur moins d´un mètre carré d´espace vital par personne, et dans la plupart des cas entourés de bestioles effroyablement nuisibles, c´est ce à quoi devraient dès lors s´attendre les nouveaux locataires des maisons d´arrêt hexagonales ! D´ailleurs, en raison de cette sur-incarcération dont souffrent cruellement ces établissements pénitenciers, quelques milliers de personnes – Un nombre non négligeable ! –, se trouvant derrière les barreaux, sont contraintes de se contenter de dormir sur des matelas (des blocs de mousse empêchant les codétenus de bien circuler dans la "geôle"), posés par terre, cohabitant avec d´écœurants cafards et de méprisables punaises !
Si l'on s'en tient à ces chiffres qui ne cessent de grimper et à ces conditions de vie que l´on peut juger comme infâmes, indignes, la situation est fort alarmante, s´étant convertie en un fléau à bannir !
À ce que l´on soit deux ou trois par cellule (ou une cellule suroccupée abritant – Que dis-je! – entassant 4 personnes écrouées passant des années et des années à l´ombre, et où deux pas représentent la distance entre le coin des toilettes et où l´on mange), ne pouvant compter que sur moins d´un mètre carré d´espace vital par personne, et dans la plupart des cas entourés de bestioles effroyablement nuisibles, c´est ce à quoi devraient dès lors s´attendre les nouveaux locataires des maisons d´arrêt hexagonales ! D´ailleurs, en raison de cette sur-incarcération dont souffrent cruellement ces établissements pénitenciers, quelques milliers de personnes – Un nombre non négligeable ! –, se trouvant derrière les barreaux, sont contraintes de se contenter de dormir sur des matelas (des blocs de mousse empêchant les codétenus de bien circuler dans la "geôle"), posés par terre, cohabitant avec d´écœurants cafards et de méprisables punaises !
Si l'on s'en tient à ces chiffres qui ne cessent de grimper et à ces conditions de vie que l´on peut juger comme infâmes, indignes, la situation est fort alarmante, s´étant convertie en un fléau à bannir !
A savoir:
En octobre 2022, des 188 prisons françaises, 48 sont occupées à plus de 150% et certains établissements pénitentiaires connaissent un taux de densité carcérale édifiant, supérieur à 200%, comme celui de Carcassonne (220,3%), de Nîmes (215%) et de Bordeaux-Gradignan (207,7%), des lieux de détention hyper hyper engorgés. Bref, il est grand temps de tirer la sonnette d'alarme et d´agir pour remédier à cette situation !
En octobre 2022, des 188 prisons françaises, 48 sont occupées à plus de 150% et certains établissements pénitentiaires connaissent un taux de densité carcérale édifiant, supérieur à 200%, comme celui de Carcassonne (220,3%), de Nîmes (215%) et de Bordeaux-Gradignan (207,7%), des lieux de détention hyper hyper engorgés. Bref, il est grand temps de tirer la sonnette d'alarme et d´agir pour remédier à cette situation !
Et ben alors ! Comment s´y mettre de sorte à mieux pallier voire enrayer le problème de la surpopulation carcérale hors norme tellement étouffante? Comment peut-on faire décroître cette population de détenus et de prévenus (des individus non jugés définitivement, en attente de jugement, donc présumés innocents) de manière à désengorger les prisons françaises ultra encombrées? Comment en finir une fois pour toutes avec cet engrenage intenable du système pénitentiaire français?
La France, réussira-t-elle à atteindre l’objectif miraculeux de l’encellulement individuel ou s´agit-il d´un mirage très lointain?
En matière de politique pénale, l´Espagne pourrait-elle inspirer la France ? Les prisons espagnoles sont pleines à craquer et gérées par des esprits immondes? Débordent-elles ou chouchoutent-elles ses prisonniers et ses prisonnières?
Pour clore, je tiens à ce que vous sachiez qu'au sein du son plan d'action contre les prisons terriblement surpeuplées adressé à l'Europe, le gouvernement français a affiché la construction de 15 000 nouvelles places de prison d'ici à 2027 et un recours accru aux mesures alternatives à la détention.
Par conséquent, désormais, il ne nous reste qu´à espérer que ce chantier ne se heurtera à aucun écueil et que cette petite goutte sera revitalisante.
À mes yeux, afin d'éviter cette surpopulation carcérale, il faudrait enmener les prisonniers dans d'autres prisons.
RépondreSupprimerD'après moi, il faudrait des années pour qu'il existe un encellulement individuel.
Biensûr que l'Espagne pourrait inspirer la France.