Saviez-vous que dans un entretien accordé au "Parisien", Emmanuel Macron, le président de la République française censé représenter tous les Français et toutes les Françaises, s´en est pris à une minorité de citoyens et de citoyennes, des personnes réfractaires, partagées entre les doutes et la peur ou convaincues de devoir lutter pour les libertés? Sachez qu´il a affirmé, sans aucun scrupule, avoir très envie d´´"emmerder jusqu'au bout" ces personnes non-vaccinées par choix en les empêchant, à partir du 15 janvier 2022, d´aller au restaurant, à un café, au théâtre, au cinéma...
Tous ces non-vaccinés français plieront-ils le genou devant ce président? D´après vous, cet aveu, le trouvez-vous sidérant ou plutôt indigne voire irresponsable? Considérez-vous un non-vacciné qui refuse une injection expérimentale, comme un non-citoyen? Ces personnes encore réticentes à la vaccination, selon vous, sont-elles des hors-la-loi? Et si en France les non-vaccinés mettent en danger la population, pourquoi ne pas rendre le vaccin obligatoire et que l'état français assume sa responsabilité quant aux effets secondaires?
Pour clore, je tiens à vous signaler que pas mal de personnes, depuis pas mal d´années, ne se vaccinent pas contre la grippe chaque année, tout en connaissant les risques et en présence d'un vaccin; et je tiens alors aussi à indiquer que l´on pourrait dresser un mur de sorte à ce que les personnes vaccinées puissent vivre à l'abri des non-vaccinées.
Au fait, en tenant compte que l'élection présidentielle approche, ces propos si provocateurs pourraient-ils être une manœuvre politique de récupération, pour se faire de la pub? Une affaire liée à la stigmatisation des non-vaccinés à suivre !
Récemment, le sujet de la vaccination est presént dans le quotidien, mais il ne constitue pas une nouvauté. Depuis son invention, il y a eu des personnes réfractaires d' être vaccinées même leurs propes enfants et la situation actuelle n' est pas differente, vu que cette pandémie a obligé à réagir rapidement contre le virus Covid-19.
RépondreSupprimerEnsuite il a fallu lutter d' urgence contre une situation inconnue en accordant la priorité des droits au détriment des autres.
En fait, il es primordiel d' analyser, d' étudier et finalement de régler.
C' est pour ça qu' a mon avis les citoyens réticentes à la vaccination ne sont pas des hors-la-loi car il n' y a pas encore aucune lois pour la régler.
Pour clore, en ce qui concerne à la proximité d' élection présidentielle, à mes yeux chaque decision ou message dirigé à la population est une claire manoeuvre politique pour l' obtention des votes.
Comme toujours, vous écrivez sur des sujets controversés qui nous font beaucoup réfléchir.
RépondreSupprimerOù est la vérité ? Quel est le meilleur, que devrions-nous tous faire?
Je ne sais pas, et celui qui n'a que des certitudes a probablement tort.
À mon avis, Macron agit de manière incorrecte en privant les citoyens français de leurs libertés individuelles, d'autant plus que ce soi-disant "vaccin" n'est rien de plus qu'une expérience en phase de test, seulement cette fois il est testé sur des humains au lieu d'en animaux par manque de temps, ou peut-être par manque de scrupules.
Par ces temps où les media répandent, analysent voire dépiautent le moindre commentaire de qui que ce soit, les mots du Président Macron semblent très mal venus. S’il s’agit d’une stratégie électorale qui espérait relever de l’enthousiasme chez les pro-vaccins, cette attitude plutôt loubarde lui a tendit un beau piège semant la rage des anti-vaccins et en même temps ouvrant un débat quant à l’attitude et le langage des chefs d’États, ministres et dirigeants en général.
RépondreSupprimerC’est peu étonnant, d’ailleurs, cette utilisation d’un langage prétendument familier, proche et « entre potes », puisque les arènes politiques accueillent depuis quelque temps des personnages en manque de manières, dont les boutades linguistiques ont transformé le paysage dans une cour d’école où les différentes bandes se bastonnent ou se font canarder devant une population stupéfaite.
Ceci dit, le fait de ne pas vouloir se faire vacciner ne transforme pas les réfractaires en des hors-la-loi puisqu’il n’y a pas de loi à transgresser, à part la loi du bien commun qui n’est écrite nulle part sauf dans notre propre balance morale. C’est vrai qu’il y a des gens qui décident chaque année de ne pas prendre le vaccin anti-grippe, mais n’oublie-t-on pas que la grippe -et ô combien d’autres - qu’aujourd’hui ne nous frôle que de quelques petits effets était avant une maladie mortelle, qui a fait des ravages qu’on a pu tempérer grâce aux vaccins ?
On serait d’accord, néanmoins, que cette sacrée pandémie a bouleversé la vie sociale, sanitaire, éducative et politique, qu’elle a forcé des démarches inouïes auparavant et a obligé à la population à se poser énormément de questions pour lesquelles elle n’est pas dûment préparée.
D'une part, le président de la République Française tel que représentant de tous les citoyens français, soient réfractaires, soient convaincues du vaccin, méritent le plein respect du président. C'est une attitude irresponsable. Sa façon de parler doit être de proposer des lois, ne pas insulter aux citoyens.
RépondreSupprimerD'une autre part, il n'y a aucun doute que c'est une véritable épidémie qui a causé la mort de milliers de personnes et de que ce vaccin n'est pas expérimental, c'est une tangible réalité, et en tant que législateur on peut proposer de limitations à l’entrée des bars, restaurants, cinémas ou exiger la certification de la vaccination, Je suis pour la liberté du choix, cependant notre option peut avoir des avantages ou des inconvénients. Si nous ne nous immunisons pas, nous n’aurons pas le droit de faire de certains activités pour protéger la santé du reste des citoyens. C’est comme si vous n’obtenez pas le permis de conduire, vous ne pourrez pas conduire votre voiture.