NADAL, l´immenssissime prodigieux maître de la terre battue, a abdiqué !

 

Alors qu’aucune force ne semblait pouvoir ébranler son règne, de cruellissimes blessures ont fini par contraindre ce titan de l’histoire du tennis. 

Cependant, sachez que, en dépit du fait qu’il ait finalement choisi de tirer sa révérence, Rafael Nadal, le hautement talentueux HÉROS du peuple espagnol, restera gravé à jamais dans nos esprits en tant que figure mythique du Panthéon du Tennis. Son héritage, bâti sur une éclatante domination, incontestablement la meilleure de tous les temps, continuera d’illuminer l’histoire de ce sport, témoignant de son hégémonie impérissable et de son aura légendaire.

“Le Quatrième Mur” ou “Antigone au Liban”, un film poignant ciblant amèrement les atroces atrocités perpétrées lors d´une guerre, ayant écorché vif – et pire ! – ayant englouti des tas de victimes innocentes, des civils, des enfants affreusement massacrés, dont le sang a coulé gratuitement au nom de la cruelle cruauté des hommes

 

Vertigineuse bouleversante adaptation cinématographique signée par le réalisateur français David Oelhoffen d´après le roman de l´écrivain français Sorj Chalandon, prix Goncourt des lycéens en 2013, dont la sortie est prévue en janvier 2025 alors qu´actuellement le Liban est de nouveau en conflit avec Israël.

Synopsis 

Liban, 1982. Porté par une promesse faite à un vieil ami, Georges se rend à Beyrouth, une ville ravagée par une guerre civile d´une déchirante violence inouïe voire stupéfiante, de sorte à réaliser un projet aussi utopique que risqué : monter au cœur d´une zone de guerre une représentation, celle d´“Antigone”, une figure mythique issue de la tragédie revisitée par Jean Anouilh en pleine guerre mondiale, symbolisant résistance, dignité et honneur, de manière à réussir à faire taire les fusils, une trêve théâtrale éphémère au milieu de la rancœur et de la haine. Bref, un défi fou, un truc hyper délirant. Quant aux personnages, ils seront interprétés par des acteurs et des actrices issus des différents camps politiques et religieux : Druzes, Chrétiens, Shiites, Maronites, Musulmans. 

Plongé au sein d´un conflit dont il ignore tout, Georges trouvera en Marwan un guide. Cependant, la reprise des hostilités, dans le pays du cèdre fortement déchiré, remettra bientôt tout en question, confrontant Georges, épris d'Imane, à l'impitoyable réalité de la guerre. 

À savoir : 

Le quatrième mur, au théâtre, c´est le mur imaginaire séparant les acteurs du public, c´est-à-dire la scène, lieu d´illusion, et la salle, lieu du réel, une séparation franchissable.

 

Une pièce de théâtre peut-elle faire oublier pour un temps la hideuse horrible horreur de la guerre ? 

D´après vous, comment la création peut-elle agir sur le monde qui ne cesse d´être morcelé voire broyé?

Croyez-vous au pouvoir de l´art face à la barbare barbarie ? 

L’art triomphera-t-il sur les abominables acharnements ô combien féroces des conflits humains ? 

Peut-il transformer nos regards aveuglés par d´aveugles aveuglements et semer certains espoirs ?

Croyez-vous que les utopies puissent faire avancer le monde, cette humanité s’affrontant à l’absurdité de la guerre, un truc fortement indéchiffrable ?

"L’Histoire de Souleymane", un film fort émouvant voire bouleversant du réalisateur français Boris Lojkine sur l’immigration en France, se penchant sur le parcours – Ô combien frénétique ! – d´un jeune livreur à vélo guinéen, un réfugié sans-papiers en quête d’asile et de dignité à Paris

 

Regardez la bande annonce de ce drame haletant et plongez dans la maudite cruelle noirceur des méandres d´un poignant parcours d´un demandeur d´asile qui vous immergera dans les entrailles d´un combat acharné ciblant un avenir encore incertain d´une âme tenaillée par un infernal accablant désarroi, à deux jours d´un entretien crucial auprès de l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides), dont le discours truffé de mensonges sera celui qui sera essentiel de sorte à décider de l’octroi ou du refus de son statut de réfugié. Autrement dit, une mise en lumière des moult écueils jonchant le parcours des demandeurs d'asile luttant pour leur survie au sein d´un environnement bondé d´hostilités, se heurtant notamment contre la complexité administrative et les délais d'attente, et espérant décrocher leur carte de séjour pour vivre en France et s’en sortir ainsi qu´allumer dans leur esprit les lueurs de l´espoir de pouvoir se cramponner à un nouveau départ éloigné de tout ce qui a violemment écorché leur vie.

Ce film, réussira-t-il à sensibiliser le public aux réalités vécues par les demandeurs d'asile, des hommes et des femmes contraints de faire face à des préjugés et à une discrimination, ce qui affecte leur intégration sociale, ainsi qu´au fait d´être confrontés aux réseaux de l’économie souterraine, tels que celui de la sous-location de comptes Uber, un racket frauduleux exercé par leurs propres compatriotes ?

Aviez-vous entendu parler du dysfonctionnement du système d’accueil des réfugiés fort défaillant éteignant les espoirs ainsi que du foisonnement de tous ces minables emplois précaires abominablement harassants auxquels ces êtres sont condamnés ? 

À savoir : 

L'acteur Abou Sangare qui incarne Souleymane, a déposé sa quatrième demande de régularisation la semaine de la sortie du film début octobre.

"Sur un fil", un film du réalisateur franco-algérien Reda Kateb vous embarquant dans l'univers du rire, de la guérison et de la générosité en milieu hospitalier au sein d’un service de soins pédiatriques

 

Une bouleversante adaptation au grand écran d´un livre paru en 2004 sur les clowns d’hôpital "Le Rire médecin. Journal du docteur Girafe" signé par Caroline Simonds, fondatrice de l´association "Le Rire Médecin" en 1991, unique en France, réunissant plus de trente comédiens professionnels intervenant régulièrement dans les services pédiatriques de manière à pouvoir offrir aux enfants hospitalisés des spectacles improvisés et individualisés ; autrement dit, tentant inlassablement de leur apporter de la joie et du réconfort.

Un émouvant bel hommage à tous ces artistes qui se pointent à l’hôpital pour égayer ces enfants atteints de graves maladies, des héros et des héroïnes invisibles qui ne s’écroulent jamais face à ces situations ô combien difficiles !

Regardez la bande annonce de cette comédie dramatique dressant le portrait de Jo, une talentueuse acrobate qui verra son destin basculer.

 

S´étant grièvement blessée au cours d’une représentation, clouée au sol après cette fatale chute, la jambe dans le plâtre, cette jeune femme est dès lors contrainte de se reconvertir pendant les six mois de sa convalescence auprès de l’association Nez pour rire au sein de laquelle elle s’inventera une nouvelle identité, celle de Zouzou, un clown libellule qui rejoindra un duo formé par Poireau et Roger Chips aux côtés de qui elle arpentera les couloirs de l’hôpital, apportant un souffle d’optimisme à de petits patient·e·s se cramponnant à la vie tandis que des médecins infatigables dans leur dévouement s´acharnent à s'affairer auprès du chevet de ces petites âmes dont la santé vacille. 

D´après vous, ces clowns d’hôpital côtoyant les personnels soignants, tout en participant au suivi de la santé des jeunes patient·e·s et à l'accompagnement des familles, comment font-ils de sorte à apporter soutien et réconfort sans s'impliquer trop fortement ? Comment les clowns gèrent-ils leurs propres émotions face à la maladie et à la souffrance des patient·e·s, notamment des enfants ? 

Comment le rôle des clowns d'hôpital est-il perçu par les équipes soignantes ?