Olivier Frébourg, un esseulé endeuillé, étant engouffré dans une angoissante souffrance durable, ayant saisi sa plume, brise le silence en retraçant la mort soudaine de son frère, Thierry Frébourg, vécue comme une poignante tragique tragédie l´ayant hélas côtoyé – Que dis-je ! – terrassé trop tôt. Sachez que ce brillantissime éminent généticien, ayant voué sa vie à soigner les autres au CHU de Rouen, s´est brutalement éteint à 60 ans, le 13 mars 2021, victime d'une fatale erreur de protocole du service médical de neurologie commise dans son propre hôpital, un hôpital public au sein duquel il était soigné pour une névrite optique, alors que le monde était ébranlé par les coups d´un contexte foudroyablement alarmant de la Covid. Un bouleversant bouleversement, un foudroyant témoignage – Ô combien impensable ! – criant de vérité. Un injuste destin hyper cruel fortement déchirant !
Ce bouquin, quoiqu´éclaboussé par la rage, mise quand même à raviver leur enfance, un vécu inondé d´éclatantes jouissances tout en montrant aussi le scandaleux effondrement du service public en France rongé par le manque de lit, l´absence de personnel, pétri par les meurtrières décisions hâtives ou trop lentes et la haïssable inhumanité des odieux comportements, car, sachez que le CHU de Rouen continue à être enlisé dans la lâche honteuse honte du silence vu que cet établissement hospitalier ne s´est pas encore excusé.
À savoir :
Thierry Frébourg n’a succombé ni à une crise cardiaque ni à un cancer, tel que la direction du CHU a d’abord voulu le faire croire, mais à l’ablation mal réalisée par une infirmière non expérimentée, d’un cathéter posé au niveau de la jugulaire. Thierry a aussitôt éprouvé de terribles atroces difficultés respiratoires, des bulles se sont formées dans le sang et ont provoqué une embolie gazeuse à forme pulmonaire.
Plus de deux ans et demi après le décès de ce professeur de génétique moléculaire, deux praticiens hospitaliers ont été sanctionnés par la chambre disciplinaire de Normandie de l’ordre des médecins.
Comment surmonter cette insupportable douloureuse douleur vous transperçant d´un amer chagrin, déclenchant un tsunami émotionnel, qui éveille parfois des sentiments profondément enfouis?
Comment faire son deuil si l´on était touché de près ou de loin par le deuil ? Masqueriez-vous votre tristesse, votre affligeant désarroi ?
Le décès d´un proche, si tragique soit-il, pourrait-il vous rendre plus libre, plus vivant ?
Coucou tout le monde!!!
RépondreSupprimerc´est vraiment hyperscandaleux ce que l´hôpital à fait!! ô pauvre homme!!!.
Ciblant le deuil, à mes yeux, cela dépend de l´époque de l´année (néanmoins on ne les oublie jamais), autrement dit, c´est hyperdur de surmonter et de mener à bien un deuil, c´est le désarroi qui t´envahie.
Mais bon, il faut faire de son mieux!, car la vie continue.
Il a un air vraiment chouette ce bouquin!! :)
Bonne soirée.
À lundi!.
Bisous!!!.