Une fiction captivante sondant le mystère insondable d’une adolescente par qui vous serez happés !
Une affaire criminelle poignante éprise de suspense.
Un drame fort haletant où Stéphane Demoustier dépeint le système judiciaire français en décortiquant un procès tiré d’un fait divers new-yorkais ayant inspiré un autre film, argentin, "Acusada".
SYNOPSIS
Lise, 18 ans, vit dans un quartier résidentiel, issue d´un milieu sans histoire et elle vient d'avoir son bac. Cependant, depuis deux ans, elle est soumise au port d’un bracelet électronique attaché à l’une de ses chevilles vu qu´elle a été accusée d'un acte atroce : d'avoir sauvagement assassiné, violemment poignardé à mort sa meilleure amie de sept coups de couteau. Lise BATAILLE devra alors mener elle seule sa propre BATAILLE et BATAILLER de sorte à trouver les bons mots pour se sauver.
Des vies meurtries, totalement anéanties, un noyau familial basculant dans la plus effroyable tragédie, des parents désemparés, déboussolés, voire brisés, une jeunesse désabusée et fortement dévergondée sur le banc des accusés, l’évolution des mœurs quant à la sexualisation des plus jeunes de notre société, le fossé intergénérationnel et l’incommunicabilité entre générations à l’heure du porno, des vidéos hyper compromettantes sillonnant sur le net, l’image de la femme contemporaine et celle d´une toute jeune fille, au visage d´ange, inculpée du macabre meurtre de sa meilleure amie, totalement tétanisée, au fur et à mesure que se déploieront des témoignages palpitants, des interrogatoires glaçants, des accusations lapidaires, des plaidoiries interminables.
Je vous recommande chaleureusement de vous retrouver confinés dans ce tribunal et de retenir votre souffle jusqu'au verdict. Convertissez-vous en de véritables jurés et forgez votre propre opinion au fur et à mesure du procès en tentant d´estomper tout le trouble ayant été semé ; et ne vous laissez surtout pas assaillir voire tenailler par le doute, au contraire, faites jaillir la vérité en tant que jurés-téléspectateurs de cours d’assises.
Maintenant c´est à vous !
Faites le procès de notre jeunesse, de nos enfants en répondant aux épineuses questions énoncées ci-dessous !
Faites le procès de notre jeunesse, de nos enfants en répondant aux épineuses questions énoncées ci-dessous !
Et vous, avez-vous une confiance aveugle en vos enfants ?
Si vous étiez dans la peau de ces progéniteurs, resteriez-vous, quoi qu’il arrive, aux côtés de votre progéniture ?
Parlez de l’amoralité de cette jeunesse sans repères.
Malheureusement, la situaition où on se trouve la jeune protagoniste de ce film n´est qu´un echantillon de la pire de celles autres où on peut rencontrer les jeunes dans notre société, mais heureusement, il faut bien le dire, pas tout es perdu..; je mentirais en disant que tout es perdu et que la jeuneusse l´est aussi, il faut pas généraliser mais dans le cinéma comme dans tout ordre de choses, elle ne sort que la chose la plus sinistre, tandis que le positif et le bon restent camuflés...
RépondreSupprimerJe suis partisane, plutôt que de dire que l´homme est un loup pour l´homme: l´homme est le fruit de leurs circonstances et dans le cas de la fille qui nous occupe, il est évident qu´il n´y a pas d´antécédentes très favorables...
Alors, tous nous sommes responsables du monde que nous voulons laisser à nos jeunes...:arrêtons de nous plaindre, alors, de la "mauvaise"jeunesse et mettons-nous au travail de construire, à leur côté, le monde dont tous nous rêvons...!
Merci, Carmen; bonsoir, mes camarades, Inma.
À mon avis, ce type de histoire si poignante est d'habitude à la télé ou dans les nouvelles , donc on tend à penser que tous les jeunes se conduisent de cette manière agressive. Par contre, on ne voit pas tout ce dont nous pouvons nous faire sentir fièrs: ceux qui partagent leur temps avec les plus pauvres ou ceux qui font des donnés aux personnes démunies.
RépondreSupprimerPar rapport au film et ce cas concret, c'est vrai que à cause du rhytme de vie d'aujourd'hui on a beaucoup de projets mais en revanche on n'a pas de temps ni de communication ouverte et sincère avec la famille ou les amis.Ce pour ça qu'il existent des ados désabusés, désemparés et en ayant pas mal de manques émotionnelles.
Tout dépend du modèle de famille qu'on choisit construire. Et par rapport aux enfants,je nes suis tout à fait sure de l'innocence des miens dans un moment donné, nonobstant, je comprends le sentiment de défense vu l'amour qu'on en professe.
Ayant été bouleversée par la fin du film " mon fils", je ne mettrai ma main dans le feu pour personne. (ô, mais quel dommage) Quel que soit l'amour que nous ayons envers nos enfants, on ne peut pas savoir tout ce qu'ils font ailleurs.. Même si l'on a cherché à faire d'eux des jeunes fort honnêtes et consciencieux, l'entourage, la peur des jugements des amis, les contraintes, l'alcool et mille et une raisons sauront faire son mieux pour trouver le revers de cette si adorable face de nos gosses , ces gosses dont on est tellement fier.
RépondreSupprimerFinalement, vous dire que j'ai hâte de le voir, au cas où cette fois ci la fin du film ne m'empêche de dormir.
Marie Angèle et Anne Marie Cabrejas vous proposent de lire :
RépondreSupprimerSans l´avoir encore lue, la synopsis du thriller « La fille au bracelet » résume à merveille la situation actuelle de notre jeunesse, la plus gâtée de tous les temps, celle qui a eu droit, au moins dans les pays développés, à tous les moyens pour parfaire son éducation et sa formation. De plus, elle est appelée à gérer dans l´avenir la destinée du monde.
Mais, hélas ! Il semble que plus elle est chouchoutée, plus la débauche gagne du terrain.
Alors, que se passe-t-il ? Qui en est responsable ? Uniquement l´influence nocive d´un Internet mal compris ? Évidemment, il y est pour beaucoup puisque non seulement la jeunesse mais aussi les enfants y ont accès à toutes sortes de pages de la pire dépravation.
Pourtant, Internet n´est pas le seul fautif.
Et l´éducation ? Aussi bien celle des parents que celle reçue à l´école ? Toutes deux laissent à désirer.
Les premiers parce qu´ils confondent souvent l´amour pour leurs enfants avec un laissez-faire absolu. Jamais une réprimande, encore moins le désir de partager de longues conversations pour comprendre et apprendre les uns des autres.
La deuxième parce qu´elle ne met plus l´accent sur l´éthique et ne cultive pas les vertus qui enseignent à distinguer le bien du mal.
De nos jours, tout semble permis. Ça sent le pourri ! La moralité est en langes, dénudée, à poil. Oui !
Les victimes ? Tous. Les jeunes et les autres. Nous vivons tous sur la même planète...