Poignant procès-fleuve hors-norme des viols de Mazan au tribunal d´Avignon, ayant fait déferler un retentissant retentissement par-delà des frontières

Gisèle Pélicot, une femme septuagénaire dont la vie a basculé dans les ténébreuses ténèbres de la foudroyante horrible horreur en novembre 2020, – un anéantissant anéantissement ô combien ravageur ! – au moment où elle a découvert que pendant près de dix ans son exécrable mari la droguait de sorte à pouvoir la livrer sexuellement à plus d´une cinquantaine d'individus, de vils véritables voraces prédateurs fortement dégénérés rencontrés sur Internet. De lâchissimes écœurants abominables viols, dont elle n'a aucun souvenir, de terriblissimes nuits lors desquelles elle a été sacrifiée sur le haïssable autel du vice. 
Sachez aussi que, alors que personne ne soupçonnait le voyeurisme de son mari ayant filmé ces macabres crimes, c´est grâce au fait de s´être fait prendre en filmant à deux reprises sous les jupes de femmes, ce qui a finalement pu faire stopper ces si hideux crapuleux viols à répétition sur son épouse qui était sous l'emprise de puissants somnifères fort assommants. 
Bref, un fait divers ô combien sordide dont la gravité est immense ! 

D´après vous, les victimes de soumission chimique, autrement dit, des êtres ayant été drogués à leur insu, sans nullement s'en rendre compte, comment vivent-elles avec cet effroyable traumatisme ? 

Selon vous, quoiqu´il soit évidemment difficilissime d´estomper voire de balayer cet effarant ignoble fléau, une espèce de lèpre qui meurtrirait qui que ce soit, quelles seraient les actions à mettre en place de manière à éviter que ce type d´abus sexuels puisse continuer à ramper dans le monde ? 

Pour clore, il ne nous reste plus qu´à espérer que l´on optera au durcissement de mesures sur la lutte contre cette répugnante "culture du viol" à l’égard des femmes et des fillettes dont les plaies à panser demeurent à jamais à vif et bien béantes.